La possession de Sœur Saint-Fleuret

 

Voici une histoire très étrange qui s’est déroulée en France au début du XXe siècle, une histoire qui a été racontée par les journaux de l’époque. Cette histoire, c’est celle d’une religieuse, sœur Saint-Fleuret, mordue par le Diable. Possession démoniaque ou folie ? Le doute subsiste encore aujourd’hui. Découvrons l’histoire de sœur Saint-Fleuret.

Un article dans la presse locale

Affiche d’Eugène Ogé parue en 1902, représentant la caricature d’un homme d’Eglise sous la forme d’une chauve-souris couvrant la ville de ses ailes l’empêchant de recevoir la lumière.

Avant de donner l’extrait du journal qui concerne cette affaire que nous allons étudier, j’aimerais décrire brièvement ce qu’était ce journal « La Lanterne » :

« La Lanterne » est une ancienne revue de la presse écrite française fondée en 1868 et dirigée par Henri Rochefort. De 1870 à 1876, le journal a été diffusé clandestinement, puis est refondé par Victor Ballay en 1877 pour être fermé définitivement en 1938. « La Lanterne » était un quotidien parisien particulièrement anticlérical et républicain. Il est nécessaire de souligner cette particularité afin de pouvoir décoder le langage utilisé par l’auteur dans l’article que nous allons découvrir. Cette position anticléricale est parfaitement assumée par la couverture du journal montrant un homme d’Église caricaturé en chauve-souris et empêchant la « Ville lumière » (Paris) de recevoir la clarté du soleil. La formule « Voilà l’ennemi » est une référence directe au discours de Léon Gambetta, ministre de l’Intérieur de 1870 à 1871, à la Chambre des députés le 4 mai 1877 lorsqu’il s’était écrié : « Le cléricalisme, voilà l’ennemi ! » Voyez l’ombre de la franc-maçonnerie sur ce journal. 

Parfois, il est bon de se rappeler ces petits détails historiques qui ont détruit la France pour en faire la République telle qu’on l’a connaît aujourd’hui, afin de comprendre pourquoi la France va si mal. Mais ceci n’est pas le propos de notre article.

Donc, « La Lanterne », ce journal profondément anticlérical et profondément républicain, a publié le mardi 17 juin 1902, dans son numéro 9185, en page 2, le récit très troublant de la possession de sœur Saint-Fleuret.

Article publié dans le journal La Lanterne le 17 juin 1902.

Voici ce que les lecteurs ont pu y lire :

« Les journaux de l’Aveyron ayant raconté des faits extraordinaires qui se passeraient à l’orphelinat de Grèzes, près de Laissac, concernant une religieuse de cet établissement, nous avons demandé confirmation à notre correspondant de Rodez, qui nous adresse la dépêche suivante :

Rodez, 14 juin.

Une religieuse, la sœur Saint-Fleuret, originaire du canton de Bozonis, est bien atteinte de démonomanie. Cela dure depuis plusieurs années. Mais les crises sont devenues plus aiguës il y a quelque temps. Après un scandale qu’elle occasionna à l’église, on lui a retiré la garde des enfants. Elle est maintenant à peu près toujours dans sa chambre, sans cependant y être séquestrée, puisqu’elle se promène à son loisir.

Mais elle est continuellement gardée et soignée par une infirmière, qui lui est exclusivement attachée et elle est l’objet de tous les égards que réclame son fâcheux état.

La malheureuse est, en effet, toujours hantée par son horreur contre l’église et les objets dits sacrés.

Sa principale monomanie est actuellement de lacérer et de détruire fiévreusement ces objets.

La sœur Saint-Fleuret se croit possédée, presque tous les ecclésiastiques du pays le croient d’ailleurs également.

Dans ses crises, il semble à la religieuse que le diable la mord ou la brûle sur divers endroits de son corps ; elle pousse alors des cris tellement aigus qu’on les entend fort loin du couvent. Il paraît avéré qu’on a relevé sur la peau de la sœur Saint Fleuret, et aux endroits où elle souffrait si fort durant la crise, des brûlures et des empreintes de mâchoires.

Le voisinage d’un Christ, d’une image pieuse, d’un livre de prières, met sœur Saint-Fleuret hors d’elle-même ; elle exècre tout objet religieux ; on prétend qu’elle n’a pas besoin de voir ces objets, qu’elle les devine quand on les approche, si cachés qu’on les tienne, et se précipite pour les détruire.

  1. Lavignac, évêque in partibus, est allé la voir il y a quelque temps. Elle a commencé par lui cracher à la figure. On dit qu’elle a entretenu ensuite avec lui une conversation en langue caraïbe. Cette paysanne dénuée d’instruction parlerait aussi, dans ses crises, les diverses langues européennes.

Par Belzébuth ! l’histoire est délicieuse et nous nous en voudrions de ne point donner, après la relation du miracle du Saint-Suaire, la large publicité de la Lanterne à cette nouvelle preuve “scientifique” du bien-fondé des dogmes catholiques, apostoliques et romains.

Saint-Fleuret nous paraît se désintéresser par trop de la pauvre petite bonne sœur qui s’est volontairement placée sous son invocation. Notre mère la Croix aura beau prétendre qu’il a trop affaire dans les salles d’armes, où l’appellent ses fonctions de patron des escrimeurs : ce n’est pas une excuse. »

 

Décryptons l’article

Tout d’abord, notons le langage utilisé par le journaliste, un langage plein de supposition, avec des formules telles que : « on a dit… », « on prétend… », « se croit possédée… », « il semble… », qui laisse planer le doute. C’est une technique bien connue qui consiste à semer le doute dans les esprits, afin d’ôter toute possibilité de compréhension, et surtout, de discernement. On note aussi l’idéologie directrice de ce journal, son ton blasphématoire et prétentieux : dénigrer, se moquer, pour éteindre la foi au Christ. Ces gens sont des serpents, manipulateurs et corrompus. 

L’histoire se passe en 1902, dans la commune de Séverac-L’Église, située dans le département de l’Aveyron et aujourd’hui appelée Laissac-Séverac-L’Église. Sœur Saint-Fleuret est donc enfermée à l’orphelinat de Grèzes, établissement dirigé à l’époque par les religieuses, et qui accueille aujourd’hui des jeunes en formation. Sœur Saint-Fleuret s’occupait donc des petits orphelins, mais d’après cet article, elle a dû être isolée et ne peut plus approcher les enfants après un scandale. Elle est gardée par une religieuse nuit et jour, qui s’occupe d’elle. Elle est tenue « prisonnière » dans sa chambre, même si elle peut en sortir pour prendre l’air.

Sœur Saint-Fleuret est victime d’une grave possession démoniaque, mais les médecins de l’époque préfèrent parler de démonomanie. Dans le langage médical, la démonomanie est le fait de se croire possédé par le démon ou de croire démesurément aux démons. Donc, et toujours pour les médecins, sœur Saint-Fleuret serait atteinte d’une aliénation mentale qui expliquerait son comportement. Mais comment expliquer alors le fait que l’on retrouve des traces de morsure et de brûlure sur son corps ? Et qu’elle parle plusieurs langues qu’elle n’a jamais apprise ? 

Est-ce que sœur Saint-Fleuret était possédée par le démon ou souffrait-elle de démonomanie, ce mal, d’après les scientifiques, qui s’est propagée au Moyen Âge et qui a conduit bien des femmes au bûcher ?

Au XVIIe siècle, des affaires identiques ont touché plusieurs couvents en France. Rappelons-nous en 1609, l’affaire du couvent des Ursulines d’Aix, celle, en 1613, l’affaire de sainte Brigitte à Lille, et en 1632 l’affaire des ursulines de Loudun. Toutes ces affaires ont permis aux psychiatres de définir un profil type de ce qu’ils appellent la démonomanie, ou la folie religieuse, ou la folie démoniaque ou encore la démonopathie : cette maladie toucherait le plus souvent les religieuses ou des femmes ayant une ferveur accrue pour la religion, ces femmes souffriraient d’érotomanie et de nymphomanie, elles sont victimes d’hallucinations pendant lesquelles le diable leur apparaît sous des formes très effrayantes… Au Moyen Âge, dès qu’une femme faisait un rêve érotique, on croyait qu’elle était possédée par le démon. Dieu merci, cela n’est plus cas aujourd’hui ! C’est ainsi que périrent de nombreuses innocentes sur le bûcher.

Mais, tout ceci n’explique pas, dans l’affaire qui nous intéresse, le fait que sœur Saint-Fleuret présente sur son corps des traces de brûlure ou de morsure ni qu’elle parle des langues inconnues. Le journaliste précise que sœur Saint-Fleuret était dénuée d’instruction, donc elle n’aurait appris aucune langue étrangère. Et là, elle s’exprimerait sous différentes langues !

L’époque où se passe cette histoire est l’époque de la psychanalyse et du rejet de l’Église. Sigmund Freud, dont on sait aujourd’hui que les théories sont bancales, a travaillé sur l’hystérie. Pour lui, toutes les femmes étaient hystériques et cette hystérie pouvait mener à la démonopathie. Les femmes avaient donc des prédispositions naturelles à la démonopathie, surtout si elles étaient pieuses, qu’elles étaient fatiguées, qu’elles jeûnaient. Alors elles exaltaient leur imagination et devenaient mélancoliques au point de se croire possédées par le démon. Voici la théorie développée à cette époque, et qui est toujours en vigueur aujourd’hui.

Je ne peux vous dire si sœur Saint-Fleuret a trouvé la paix, mais son histoire me touche dans le sens où beaucoup de personnes souffrent de maux démoniaques aujourd’hui (beaucoup ne le savent pas) et ne trouvent aucun réconfort dans la médecine. Notre monde rationnel refuse de croire à l’existence du démon, et donc, on ne peut aider les victimes du diable. Les hôpitaux psychiatriques sont remplis de personnes qui auraient plus besoin d’un réconfort spirituel que d’un traitement médicamenteux. Les psychiatres, à défaut de pouvoir diagnostiquer et soigner ces personnes, les étiquettent schizophrènes et leur donnent des anxiolytiques et des antidépresseurs, ce qui n’améliorent pas leur état. C’est une aberration de notre système que d’avoir rejeté Dieu de la médecine.

Pourquoi laissons-nous des personnes souffrir, alors qu’il suffirait de prières pour les soulager ? Parce que notre monde ne veut plus de Dieu et préfère se tourner vers d’autres dieux (l’argent, le pouvoir, le New Age…).

Il faudrait une collaboration entre la médecine et les hommes de Dieu, afin de sauver le plus de victimes possible du démon. Encore une fois, le combat est spirituel et demande un changement de nos mentalités. Attention, chers lecteurs, je ne dis pas qu’il ne faut pas aller voir son médecin lorsque l’on tombe malade. La médecine est indispensable, mais il faut une médecine qui sert l’homme et non l’argent, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui !

 

 

Un peu d’histoire

Gravure de Jacques Callot, 1614-1615

 

Avant la psychiatrie, on pensait que tous ceux qui souffraient d’une maladie mentale (psychose ou névrose) étaient des victimes du diable. Heureusement, avec les progrès de la médecine, on peut aujourd’hui soigner, ou soulager, certaines maladies neurologiques et certains dérèglements physiologiques du cerveau. Mais, et que l’on ne s’y trompe pas, les maux démoniaques existent, et ceux-là, la médecine a décidé de les ignorer.

Au début du XXe siècle, avec l’essor de la psychanalyse, toutes les femmes souffrant de dépression par exemple étaient vues comme hystériques.

Rappelons ce qu’est l’hystérie. En psychologie, l’hystérie est une névrose caractérisée par une tendance aux manifestations émotives spectaculaires, qui peut se traduire par des symptômes d’apparence organique et par des manifestations psychiques, comme des délires, des angoisses… Dans le sens courant, l’hystérie est une excitation intense et incontrôlée. Aujourd’hui, on parle de personnalité histrionique, c’est-à-dire que la personne souffrant de cette pathologie manifeste ses émotions de façon excessive, en voulant trop plaire par exemple, en voulant séduire tous les hommes.

Et donc, on pense que la démonomanie est une déviation de l’hystérie. La démonomanie est donc une grande crise d’hystérie. Voilà comment cette pathologie est vue par les psychiatres. D’ailleurs, ils pensent que cette maladie n’atteint que les personnes faibles d’esprit, particulièrement les femmes et les enfants, et que c’est l’ignorance et la superstition qui créent le terrain fertile au développement des crises.

Cependant, notons comment ce mal est devenu étrangement épidémique au Moyen Âge et toucha de nombreuses femmes qui périrent sur le bûcher. Ces évènements des chasses aux sorcières ont fait beaucoup de tort à l’Église. Et c’est à cause de cela qu’elle est frileuse dès que l’on aborde le sujet de la possession démoniaque.

Au début du XXe siècle, siècle des Lumières comme on l’appelle, siècle des grandes inventions et de l’industrialisation, on pourrait penser que cette épidémie de démonomanie allait s’arrêter. Or, les affaires se multiplient. Elles ne sont pas très médiatisées, on en parle très peu, mais elles sont courantes. Et elles sont encore courantes aujourd’hui, puisque les demandes d’exorcisme sont en constante augmentation, au point que le clergé est submergé. Comment se fait-il que cette pathologie appelée démonomanie ait encore lieu aujourd’hui, alors que la superstition recule, alors que les gens sont de moins en moins croyants ? Peut-être, tout simplement, parce que le diable existe et qu’il a tout fait pour que l’on ne croie plus en lui afin de pouvoir agir. Et comme les gens sont de moins en moins croyants, ils ne peuvent plus lutter contre le démon.

Aujourd’hui, le monde va mal, tout le monde le sait et ce n’est un scoop pour personne. Les maladies mentales se multiplient, il n’y a jamais eu autant de dépressifs qu’aujourd’hui, autant de suicides, autant de psychopathes, de déséquilibrés… Pourquoi ?

Prenons l’exemple de l’affaire des possédées de Morzine qui secoua la Savoie dans les années 1860, une affaire qui dura dans le temps et qui toucha deux petites filles très pieuses. Ces enfants développèrent des comportements étranges : elles montaient dans les arbres comme des chats, sautaient d’une branche à l’autre, en descendaient la tête en bas, parlaient plusieurs langues. Elles furent considérées comme des possédées et plusieurs prêtres les exorcisèrent. Elles furent guéries. Mais il y eut de nombreuses tensions entre les ecclésiastiques et les médecins, surtout les psychiatres, qui voulurent enfermer les petites filles dans un asile, les couper de toute influence religieuse. À votre avis, cela aurait-il arrangé le problème ?

L’affaire fit tellement bruit que le ministre de l’Intérieur de l’époque envoya le docteur Augustin Constans, inspecteur général des asiles, pour examiner les petites malades. Arrivé à Morzine, ce médecin trouva les deux petites filles, mais aussi soixante-quatre autres personnes atteintes d’hystérie et de démonopathie, des femmes, la plupart célibataires, décrites comme paresseuses, loquaces, exaltées fantasques, se réunissant souvent et s’excitant mutuellement et abusant du café noir. Pouvait-on penser que ces femmes étaient des sorcières qui se réunissaient pour des messes noires ? En tous les cas, ces femmes se disaient possédées.

Le docteur Augustin Constans essaya un traitement à base de médicaments, sans succès. Il mit cet échec sur la faute de ces femmes qui refusaient de suivre scrupuleusement son traitement. Alors, il envoya une brigade de gendarmerie et l’épidémie cessa. Du moins, d’après les dires de ce médecin. Mais cette épidémie ne cessa donc pas à cause du traitement. L’histoire nous dit aussi que le docteur Augustin Constans a fait changer le curé de Morzine et que ce dernier fut dévoué aux malades. Peut-être faudrait-il chercher de ce côté-ci…

Mais, le docteur Augustin Constans se vantera de cette histoire et dénigrera une fois de plus l’Église catholique. Et c’est ce que le peuple retiendra de cette histoire.

Revenons à sœur Saint-Fleuret. L’Église s’impliqua dans cette affaire, mais avec beaucoup de précautions. Le cardinal Bourret envoya à Grèzes un médecin afin de s’assurer que cette jeune religieuse ne souffrait pas d’une maladie physique. Ce médecin déclara que jamais il n’avait vu une maladie aussi étrange que celle dont souffrait sœur Saint-Fleuret. Il avait réalisé de nombreuses expériences en présence de nombreux témoins, et avait élaboré des hypothèses pour tenter de cerner de quel mal était atteint la jeune femme, sans jamais réussir à le diagnostiquer.

Ce même médecin avait évoqué l’autosuggestion lorsque sœur Saint-Fleuret avait distingué instantanément les flacons qui contenaient de l’eau bénite des autres contenant une eau simple. Et cela sans commettre la moindre erreur. Plusieurs fois, le médecin renouvela cette expérience, avec toujours le même résultat : sœur Saint-Fleuret arrivait à sentir même quelques gouttes d’eau bénite dans un flacon caché dans la poche d’un témoin. Elle se précipitait alors sur lui pour le frapper ou le griffer. Et pour la calmer, il fallait éloigner l’eau bénite d’elle.

La même chose se passa lorsqu’un membre du clergé, pour l’exorciser, était entré dans sa chambre en dissimulant une hostie consacrée. La religieuse était entrée en crise. Le même curé, plus tard, était entré de la même façon, dissimulant une hostie non consacrée, la religieuse était restée calme. Ce phénomène ne peut s’expliquer par la suggestion !

On retrouve ce même phénomène dans l’affaire des possédées de Loudun par exemple (et bien d’autres encore) qui partage aussi le fait que les victimes s’expriment en langues inconnues. Dans toutes ces affaires de possession, on retrouve toujours le même tableau. Et le fait qu’on ne puisse l’expliquer, ou même soulager les maux dont souffrent les victimes devrait nous mettre la puce à l’oreille. La psychiatrie s’obstine à diagnostiquer des maladies qui ne sont pas physiques ou mentales, s’obstine à traiter des maladies qui ne sont pas de son ressort. Le mal est situé ailleurs, dans une dimension spirituelle, et ces maladies sont des maladies de l’âme, qu’il convient de traiter comme telles, c’est-à-dire avec des prières et un retour à la foi. Tout en prenant soin de toujours avoir un médecin à côté de soi, afin de prévenir une véritable maladie physique ou mentale. Car souvent, les maux démoniaques engendrent des dérèglements physiologiques, qui engendrent des maladies. 

Prenez le cas d’un patient qui refuse de s’alimenter. Le diable l’empêche de s’alimenter, donc il lui faut se délivrer du démon pour qu’il puisse à nouveau manger correctement. Mais avant que la délivrance arrive, ce patient va souffrir de carences, d’une perte de poids, d’une fonte de la masse musculaire…, tous ses organes vont souffrir de la situation, et cela va forcément engendrer des conséquences sur son corps. Il faudra donc, en parallèle des prières, le traiter médicalement pour éviter de graves complications.

Dans l’affaire de sœur Saint-Fleuret, je ne peux vous dire s’il s’agit réellement d’un cas de possession démoniaque. Mais, ce que je peux vous dire, c’est que bien trop de personnes souffrent de maux que la médecine n’arrive pas à soigner, et qu’il serait bon pour toutes ces victimes incomprises de s’interroger à ce sujet ! Car au-delà de la science, il existe une force surnaturelle que nous ne pouvons maîtriser et que nous refusons d’étudier sous prétexte qu’elle fait partie de la superstition. Réveillons-nous. Satan existe et il domine notre monde. Satan a réussi l’exploit à s’insinuer dans toutes les instances de notre vie, au sein même des gouvernements, au sein de l’Église… Certaines choses commencent à sortir de l’ombre, mais le chemin à parcourir est encore long.

Le combat est spirituel et il est temps de réagir. Il est temps de combattre notre véritable ennemi, l’Ennemi de l’humanité, afin d’arracher le plus de monde possible de son emprise et retrouver leur liberté. Courage, persévérance et bienveillance. 

Sources : histoiredelafolie.fr

Marie d’Ange

Pour aller plus loin

 

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