La fête de Noël

Pour les chrétiens, Noël, du latin natalis qui signifie naissance et non « no ël » qui signifie non à Emmanuel (Dieu sauve), est la fête de la naissance de Jésus, le Sauveur du monde annoncé par les prophètes de l’Ancien Testament. Aujourd’hui, Noël est devenu une fête populaire représentée par son sapin, ses guirlandes, ses cadeaux et le Père Noël. C’est une fête qui rassemble, même si elle est devenue commerciale. Certains chrétiens veulent détruire cette fête et voilà pourquoi je ne suis pas d’accord.

 

 

La naissance du Christ

Les Évangiles de saint Luc et saint Matthieu nous parlent de la naissance du Christ

6 Or il advint, comme ils étaient là, que les jours furent accomplis où elle devait enfanter.

7 Elle enfanta son fils premier-né, l’enveloppa de langes et le coucha dans une crèche, parce qu’ils manquaient de place dans la salle.

8 Il y avait dans la même région des bergers qui vivaient aux champs et gardaient leurs troupeaux durant les veilles de la nuit.

9 L’Ange du Seigneur se tint près d’eux et la gloire du Seigneur les enveloppa de sa clarté ; et ils furent saisis d’une grande crainte.

10 Mais l’ange leur dit : « Soyez sans crainte, car voici que je vous annonce une grande joie, qui sera celle de tout le peuple :

11 aujourd’hui vous est né un Sauveur, qui est le Christ Seigneur, dans la ville de David.

Luc 2:6-11 Bible de Jérusalem

 

Le Christ est né dans une étable. Marie l’emmaillota dans un linge et le coucha dans une mangeoire et non dans un landau. Le Christ est né au sein d’une famille pauvre, une famille humble. Les premiers à être informé de cette naissance sont les bergers, des hommes pauvres. Les conditions de cette naissance sont particulières et mystérieuses.

Dans l’étonnant déroulement de cet évènement inouï, les Pères de l’Église ont vu de nombreux signes. Le premier signe c’est que cet enfant de Bethléem est né pauvre parmi les pauvres qu’étaient les bergers. Le second commentaire que nous pouvons faire est que Jésus est venu sur terre sous la forme d’un enfant faible et sans défense. Jésus est venu parmi les hommes en partageant leur condition humaine.

C’est cette naissance que de nombreux chrétiens célèbrent, la naissance du Sauveur du monde qui s’est fait homme.

Maria Valtorta, qui a reçu en vision le déroulement de cet évènement et qui le raconte en détail dans le tome 1 de la série de livres “L’Évangile tel qui m’a été révélé” nous montre que Jésus est né en hiver, il faisait froid à sa naissance. Un ange est apparu aux bergers pour leur annoncer cette grandiose nouvelle. Ces bergers ont été les premiers fidèles du Christ. Je vous recommande de lire les écrits de Maria Valtorta, ils sont vraiment inspirés et inspirants. 

 

D’un point de vue historique

Sur le plan historique, Jésus ne peut être né un 25 décembre. Cette date a été choisie pour christianiser des fêtes païennes qui célébraient le solstice d’hiver. Il a fallu fixer par convention une date pour rassembler tout le monde, chrétiens et païens. Pourtant, d’après les visions reçues par Maria Valtorta, Jésus serait né lors d’une nuit froide d’hiver. Mais est-ce que la date de cette naissance est vraiment importante ? Le plus important est l’esprit qui entoure cette fête de Noël, une fête qui rassemble croyants et non-croyants. Le reste n’est que détail insignifiant que le diviseur se sert pour diviser les croyants. Ne nous laissons pas aller à ces querelles. Le plus important est que cette nuit, le Sauveur du monde est né pour tous les hommes. 

Les Évangiles ne donnent aucune précision quant à la date de naissance de Jésus. Par contre, la Bible mentionne deux détails relatifs à l’époque de sa naissance.

Le texte de Luc mentionne un recensement opéré par un édit de César Auguste. Cet édit précisait que tout le monde devait se faire recenser « dans sa propre ville », ce qui pouvait représenter un trajet, pour certains, d’une semaine, voire plus. Le but de ce recensement était probablement de lever des impôts et de recruter des hommes pour l’armée. Cette mesure était donc très impopulaire. Et César Auguste était bien trop intelligent pour ajouter, à cette tâche déjà impopulaire, une directive forçant beaucoup à voyager en plein hiver. Donc, probablement que ce recensement eut lieu au printemps ou au début de l’automne.

Un autre détail, toujours dans le texte de Luc : nous savons que les bergers surveillaient leurs troupeaux la nuit et que les brebis vivaient en plein air. En ce temps là, en Palestine, les troupeaux étaient dehors de fin mars à la mi-novembre et passaient l’hiver dans des bergeries. Donc, là, on peut clairement dire que Jésus n’a pas pu naître un 25 décembre.

On peut déterminer quand Jésus est né en partant de la date de sa mort. Nous savons qu’il a été crucifié à la Pâque en l’an 33 (le 14 Nisan). Nous connaissons la date de célébration de cette Juive, qui avait lieu au printemps. Or, Jésus avait à peu près 30 ans lorsqu’il a commencé son ministère qui a duré trois ans et demi. Il est donc né au début de l’automne de l’an 2 avant notre ère. 

 

La fête de Noël décodée

Pour les chrétiens, Jésus Christ est le fils de Dieu venu sur Terre pour donner un message de paix et de justice.

Chez les catholiques, Noël est vécu avec des traditions différentes selon les pays et en France d’une région à l’autre. Certaines traditions sont chrétiennes, d’autres non.

La crèche de Noël est une tradition chrétienne. Les chrétiens font une crèche pour rappeler que Jésus est né dans une crèche, pour rappeler le signe d’humilité qu’Il nous a envoyé, pour rappeler que Jésus s’est installé au milieu des plus pauvres. Et aussi que les premiers avertis de cette naissance sont les bergers et non les plus puissants.

Cette tradition n’est pas arrivée de suite, elle a mis du temps à s’établir. La première crèche aurait été réalisée par François d’Assise en 1223 à Greccio en Italie. Il s’agissait d’une crèche vivante. Plus tard, les crèches sont apparues dans les églises entre le 15e et le 16e siècle, puis dans les familles au 17e siècle.

Les crèches représentent une mise en scène de la naissance de Jésus telle qu’elle est présentée dans le Nouveau Testament. Il s’agit d’une étable miniature dans laquelle on dispose Marie, Joseph et les bergers réunis autour du nouveau-né. Les mages Gaspard, Melchior et Balthazar sont représentés en route vers cette étable. Leur arrivée est célébrée à l’Épiphanie. Les mages symbolisent l’universalité de l’évènement qu’est la naissance de Jésus.

La tradition de la crèche est très populaire dans tout le monde chrétien, même si aujourd’hui, on veut la faire disparaître au nom de la laïcité, gommant alors les racines chrétiennes de la France.

Une autre tradition de Noël : les marchés de Noël. Cette tradition est encore très présente en Alsace, mais tend à disparaître dans de nombreuses régions de France, toujours au nom de la laïcité. Or, les marchés de Noël n’ont rien de chrétien. Cette tradition s’est mise en place vers les années 80. À l’origine, ces marchés présentaient des produits artisanaux dédiés à Noël : guirlandes, santons, boules pour le sapin… Aujourd’hui, on y vend du tout et du n’importe quoi. Encore une fois, l’essence de ces marchés tend à disparaître, chassant par la même occasion l’esprit de Noël.

Une autre tradition de Noël qui n’a rien de chrétien : le sapin de Noël. Le sapin de Noël est une tradition païenne christianisée par les Églises chrétiennes lors du Moyen-Âge et généralisée vers la fin du XVIIIe siècle. Le sapin de Noël est souvent associé aux cadeaux de Noël. Là encore, il ne faut pas confondre le sapin avec la crèche. L’un est une tradition païenne, l’autre est une tradition chrétienne. Donc, se révolter pour un sapin de Noël au nom de la laïcité est un non-sens. Vouloir le faire disparaître est aussi un non-sens.

Aujourd’hui, la fête de Noël est devenue une fête familiale ou commerciale. Son essence chrétienne a été gommée. On parle de cadeaux, de Père Noël, de sapins, de repas en famille… mais peu parlent de la naissance de Jésus. Donc, Noël devrait rassembler tout le monde, croyants et non croyants. Or, cette fête pose problème pour ceux qui défendent la laïcité. Ridicule !

Autrefois, on allumait une belle bûche dans la cheminée, on partageait des friandises, de la brioche, des gâteux, des fruits confits, on était en famille, on buvait un vin chaud parfumé ou un chocolat chaud. Aujourd’hui, Noël est devenu commercial, c’est le moment de l’année où toutes les enseignes veulent vendre à tout prix ! Certains se ruinent, d’autres achètent sans compter. C’est devenu du n’importe quoi ! On nous pousse à la surconsommation. Noël est devenu un prétexte à la surconsommation.

Quant au Père Noël, il n’a rien de chrétien. Le Père Noël est un personnage anglo-saxon apparu au XIXe siècle et chargé d’apporter les cadeaux. Avec ce personnage, celui de saint Nicolas disparaît au profit d’un personnage qui pousse à la surconsommation. L’image du Père Noël est auréolée d’une dimension magique, avec son traîneau volant tiré par des rennes, son sac rempli de jouets… Donc, on peut très bien fêter Noël tout en étant athée, faire son sapin tout en étant athée ou d’une autre religion, puisque toutes ces choses n’ont rien de chrétien.

Noël c’est aussi les cadeaux que l’on s’échange au sein d’une même famille ou entre amis. Pour les chrétiens, ces cadeaux font référence aux cadeaux apportés à Jésus par les mages : l’or, l’encens et la myrrhe. Mais cette tradition se maintient hors du contexte chrétien, avec le sapin de Noël et le Père Noël. Et l’échange de ces cadeaux fait le bonheur des multinationales et contribue au caractère commercial de cette fête.

Alors que l’on soit chrétien, athée, agnostique ou issu d’une autre religion, tout le monde peut fêter Noël. Les uns feront une crèche, iront à l’église pour la messe de Noël, les autres attendront le Père Noël qui apportera les cadeaux sous le sapin. Noël est donc une fête qui devrait rassembler tout le monde. C’est cela l’essence véritable de cette fête. J’aimerais que l’on utilise cette fête pour s’interroger en famille sur notre monde de consommation, pour s’offrir des cadeaux différents, faits main, ou simplement un temps passé avec sa famille. J’aimerais aussi que l’on pense aux autres, que l’on pense aux personnes isolées, aux pauvres. Au lieu de dépenser des centaines d’euros pour un nouveau portable, ne pourrait-on pas utiliser cet argent pour apporter un peu de chaleur à ceux qui n’ont rien, en distribuant des jouets aux enfants démunis, en invitant une voisine seule à passer le repas avec nous…

Noël devrait être un véritable moment d’échange, un moment de bonheur partagé, le moment pour penser aux autres, pour faire passer l’être avant l’avoir.

Juste une petite précision pour ceux qui disent que Noël est une fête chrétienne. Savez-vous que les Églises orthodoxes russes attendent le 7 janvier pour fêter la naissance de Jésus et la visite des mages ?

 

Le mythe du Père Noël

On connaît tous ce personnage jovial à la barbe blanche, tout de rouge vêtu, qui distribue les cadeaux sous le sapin de Noël. Une rumeur circule attribuant à Coca-Cola la paternité du Père Noël rouge. Cela n’est pas tout à fait exact. En 1860, un illustrateur new-yorkais invente un personnage qui viendrait distribuer des cadeaux aux enfants en se basant sur la légende de Saint Nicolas. C’est pour cela aussi que l’on dit que le Père Noël est saint Nicolas. Ce personnage inventé est bedonnant, il porte une longue barbe blanche et arbore un costume rouge, comme saint Nicolas.

Mais, l’histoire de Coca-Cola est quand même étroitement liée à la popularisation du Père Noël tel que nous le connaissons aujourd’hui. Durant les années 30, la marque américaine avait besoin d’une publicité percutante pour vendre sa boisson Coca-Cola durant l’hiver, saison où ces boissons ne se vendaient pas très bien. En 1931, Coca-Cola s’approprie le personnage inventé par l’illustrateur new-yorkais, ce personnage mondialement connu. Pour la publicité, il y mit en avant que durant sa longue nuit de livraison de jouets, le Père Noël doit avoir soif et que seul un Coca-Cola peut lui donner les forces pour mener sa mission à bien. Le Père Noël porte déjà les couleurs de la marque, donc l’associer à la boisson a été relativement facile.

C’est l’illustrateur Haddon Sundblom qui va créer les affiches publicitaires de Noël pour Coca-Cola jusqu’en 1964, en mettant en scène le Père Noël en train de distribuer ses cadeaux ou de faire une pause Coca-Cola. Désormais, chaque hiver, le Père Noël devient l’ambassadeur de Coca-Cola et cela depuis plus de 70 ans maintenant.

 

Les idées reçues sur Noël corrigées par la Bible

 Dans cette section, je vais parler de la fête chrétienne de Noël et non de la fête commerciale.

  • Jésus est né l’an I

La Bible ne mentionne pas la date de naissance de Jésus. C’est au VIe siècle que Denis Lepetit, moine, fixe l’an 1 pour le faire correspondre avec la naissance de Jésus. Mais ce pauvre moine s’est trompé dans ses calculs et a fait quelques erreurs, de sorte que l’on pense aujourd’hui que Jésus serait plutôt né vers -5 av. J.-C. Nous savons que Jésus est né sous le règne du roi Hérode le Grand. Or, Hérode est décédé en -4 av. J.-C.

 

  • Jésus est né le 25 décembre

Non, Jésus n’est pas né un 25 décembre. D’après la Bible, lorsque Jésus est né, les bergers gardaient leurs troupeaux dehors pendant la nuit. Or, les bergers rentraient les troupeaux en hiver. Cette date du 25 décembre a été choisie pour christianiser les fêtes païennes qui existaient déjà et qui célébraient le solstice d’hiver, comme la fête des Saturnales chez les Romains.

Sachez que les premiers chrétiens ne célébraient pas la naissance du Christ, ils ne célébraient pas son anniversaire. Noël n’est mentionné nulle part dans la Bible. Elle provient d’une tradition humaine qui a vu le jour vers l’an 250 au printemps, puis en décembre vers l’an 325. En effet, les païens célébraient l’anniversaire de Mithra, la divinité de la lumière. Pour faire disparaître cette fête, l’empereur Constantin l’a attribué à la naissance de Jésus, le vrai Dieu de Lumière.

 

  • L’étable

On peut lire dans le tome 1 de “L’Évangile tel qu’il m’a été révélé” de Maria Valtorta, que Jésus est né dans une grotte, car personne n’a voulu donner l’hospitalité à Marie et Joseph. Ce n’est que plus tard que les bergers ont dit à Joseph de se rendre dans une maison où la famille sainte trouverait une chambre. Il faisait froid dans la grotte, elle était humide. Cette naissance montre d’emblée que Jésus a choisi de naître pauvre pour des raisons évidentes.

 

  • Les rois mages

Ce titre de roi a été donné bien plus tard. Les mages étaient des personnes sages qui s’occupaient, à cette époque, chez les Perses et les Mèdes, des affaires religieuses. Les mages étaient une caste sacerdotale très considérée qui formaient le conseil secret des rois et qui se vouaient à l’étude de la nature et de l’astronomie.

Nous ne savons pas combien de mages sont venus voir Jésus. Nous avons supposé qu’ils étaient trois à cause des cadeaux : l’or, l’encens et la myrrhe. Peut-être étaient-ils dix ? De même, nous ne savons pas leurs noms. Les noms de Melchior, Gaspard et Balthazar apparaissent plus tard dans un évangile apocryphe daté du VIe siècle. D’après Maria Valtorta, les rois mages étaient bien au nombre de 3, et ils sont arrivés alors que Jésus avait déjà quelques jours. Tout de suite, ils ont reconnu le Sauveur du monde. Et les cadeaux qu’ils ont laissé au Christ ont permis à Joseph d’installer toute la famille en Égypte afin de fuir l’édit d’Hérode qui voulait tuer tous les premiers nés de la région. 

Quant à leur royauté, cette dernière leur a été attribuée par l’évêque saint Césaire d’Arles (470-543) qui s’est basé sur le psaume 72. Ce psaume déclare que lorsque Dieu vient, les rois se prosternent devant lui. En même temps, il ne fallait pas attirer l’attention sur la profession d’astrologues de ces mages pour ne pas la valoriser.

 

  • L’étoile de Bethléem

On pense que l’étoile de Bethléem brillait au-dessus de l’étable la nuit où Jésus est né, et c’est ainsi que les mages sont arrivés à Bethléem, en suivant cette étoile. Or, les mages sont d’abord arrivés à Jérusalem, le 33e jour suivant la naissance de Jésus, lorsque Marie était purifiée. C’est à ce moment-là que l’étoile commença à avancer lentement vers les sages et à les guider vers Bethléem jusqu’à l’endroit où se trouvait Jésus. Donc, l’étoile n’est pas apparue lorsque Jésus est né, mais bien après sa naissance. Et cette étoile qui a conduit les mages s’est arrêtée sur une maison, pas sur une étable ou une grande :

« Ils entrèrent dans la maison, virent le petit enfant avec Marie, sa mère. » Matthieu 2:11

L’étoile a donc conduit les mages d’Orient sur un trajet de plus de 700 km, voyage qui a dû prendre au moins 30 jours en parcourant une moyenne de 25 km par jour.

 

  • Dieu veut que les chrétiens célèbrent l’anniversaire du Christ

Encore une idée reçue. À aucun moment, dans la Bible, il n’est mentionné que Dieu demande de célébrer la naissance du Christ. Par contre, la Bible nous demande de célébrer la mort et la résurrection du Christ, car Jésus est mort sur la Croix pour délivrer les hommes, pour le libérer de Satan. Puis, il est ressuscité, ce qui montre l’importance de la résurrection dans son message. Et bizarrement, de nombreux chrétiens célèbrent davantage Noël que Pâque. En faisant ainsi, ils passent à côté d’un des messages principaux de la Bible : la résurrection. On voit bien ici l’œuvre de Satan qui a réussi à détourner les gens de ce message, à les détourner de Jésus. La Bible nous demande aussi de célébrer la Cène, le dernier de repas de Jésus avec ses apôtres :

« Vous ferez cela en mémoire de moi ».

Et nous, que faisons-nous ? Nous plaçons Noël comme la fête la plus importante du christianisme ! Malheureux que nous sommes ! Relisons notre Bible, afin de nous concentrer sur l’essentiel et de faire preuve de discernement.

 

À tous, croyants ou non croyants, je vous souhaite un joyeux Noël. Pensées pour les démunis, pensées pour tous ceux qui sont seuls à cette époque de l’année, pensées pour ceux qui vivent dans la rue, pour ceux qui n’ont plus rien sur la table. Œuvrons ensemble pour un monde meilleur. Que cette période de Noël nous apporte le discernement et nous permette de réfléchir sur le monde actuel. Nous n’avons qu’un seul ennemi, cet ennemi c’est Satan. C’est lui que nous devons combattre. Le combat est spirituel et ce combat, nous devons le mener ensemble. Courage, persévérance, bienveillance. 

 

Marie d’Ange

 

Pour aller plus loin

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4 commentaires sur “La fête de Noël

  1. Waaaoooo!!! Je suis vraiment édifié MARIE !! Merci pour ces révélations sur cette fête. Le monde est miné à tous les niveaux de la vie. Nous avons besoin que les écailles tombent de nos yeux.
    Que Dieu te bénisse abondamment…
    toute mes excuses pour cette longue absence, je suis de retour dorénavant…
    J’espère vous allez très bien. Merci!!!

    1. Bonjour Fred,
      Je vais très bien merci. Merci à toi de me lire. Que Dieu te bénisse. Beaucoup de bonheur pour la nouvelle année qui s’annonce.
      A bientôt
      Marie d’Ange

      1. AMEN !!! MERCI BEAUCOUP

  2. Merci Marie !!! beaucoup !! que de vérité dit ici !! cela remet les choses en place … c’est triste bien sur que la vérité soit caché … masi il faut un peu de bons sens pour voir que Noel à été trafiqué….les Francais sont plongé dans l’ignorance la plus totale n’eyant aucune idée des répercution de leurs actes ..Merci merci merci

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