Les sectes sataniques, réalité ou fiction

À l’abri des regards, dans une pièce sombre transformée en église satanique, au moment où vous lisez ces lignes, des personnes sont réunies et vouent un culte à Satan. Leurs activités occultes sont diverses, mais la pire reste le meurtre au nom de Satan. Les sectes sataniques se développent dans le monde entier. Elles sont nombreuses et prennent différents noms pour mieux nous perdre. Les sectes sataniques sont une réalité, une réalité dangereuse.

 

 

 

Les sectes sataniques

Ici, vous entendrez parler de sociétés secrètes, comme la franc-maçonnerie, la Rose-Croix, les Illuminati… Nous ne connaissons pas grand-chose sur ces sociétés et il est difficile de démêler la vérité du faux. Ce que nous savons, c’est qu’elles sont sataniques, car elles prônent l’inhumanité, le pouvoir et la richesse et bien sûr, toutes les déviances sexuelles, comme la pédophilie. Ce sont des sujets sensibles. Finalement, le satanisme est le rejet de Dieu, et le satanisme prône l’inversion de la Parole de Dieu. 

Notre monde actuel, dirigé par ces sociétés secrètes, prône l’athéisme en masse, la pratique de l’ésotérisme, de l’occultisme et du spiritisme, donc tout ce qui éloigne de Dieu, ternit la foi et rend l’âme malade. Ces pratiques sont à la mode et beaucoup de jeunes s’y adonnent sans connaître les dangers encourus. Elles sont un moyen de recruter des adeptes. Bien sûr, dans ces domaines, il existe de nombreux charlatans, mais même eux, en pratiquant de la magie, en cherchant à s’enrichir sur le dos de ceux qui souffrent, ils deviennent des disciples de Satan.

Les sociétés sataniques existent et leur but est d’aveugler l’humanité sur la présence de Dieu. Les membres de ces sociétés secrètes sont des hommes, des femmes en apparence bien sous tout rapport, venant de milieux socioculturels et professionnels diversifiés. Ces hommes et ces femmes vouent un culte à Satan, font des rituels sataniques, s’adonnent à des orgies, réalisent des sacrifices, parfois humains… Certains rejoignent ces groupes pour assouvir leurs pulsions sexuelles, notamment pédophiles.

Ces personnes entraînent d’autres personnes, surtout les jeunes, à s’adonner à la magie, à l’occultisme. Les adolescents prennent cela pour un jeu. Or, la magie n’est pas un jeu ! Différents troubles tourmentent ceux qui s’y intéressent, comme la dépression, la paranoïa, des maux physiques que la médecine ne peut soulager. Certains aussi sombrent dans la schizophrénie. La magie attire parce que de prime abord, cela semble anodin et amusant. Ensuite, on expérimente des choses excitantes et l’on finit par se lier à Satan. L’effet euphorisant est temporaire, car très vite, on va ressentir de l’angoisse.

Les sectes sataniques sont en plein essor. On n’en parle pas, cela reste secret. Et pourtant des millions de personnes, dans le monde entier, se réunissent dans des endroits glauques et lugubres, devant un autel où trône une statue de Satan ou d’une autre divinité, un pentacle, une croix inversée. Il existe même des discothèques pour satanistes dans lesquelles on passe de la musique satanique et où l’on pratique des orgies. Les clubs fétichistes, les clubs échangistes sont aussi liés aux sectes sataniques.

Il existe différentes formes de satanisme, dont le satanisme de LaVey, le luciférisme, le satanisme théiste… Il y en a pour tous les goûts ! Ces sectes prônent la liberté, le refus de la société, la débauche… et le meurtre ! Et des francs-maçons, des illuminati… dirigent toutes ces sectes !

Le satanisme est un phénomène que l’on ne peut nier. Tous les jours, dans les journaux, nous lisons des faits divers effrayants. Mais l’on ne nous dit jamais clairement qu’il s’agit de meurtres perpétrés dans le cas d’un sacrifice satanique ; on laisse le lecteur dans le doute, comme si les médias sont complices des sectes sataniques, de la franc-maçonnerie, des illuminati… Et franchement, je pense de plus en plus qu’ils le sont.

Voici quelques exemples d’articles dans les journaux concernant le satanisme :

L’ouverture d’un procès pour meurtres d’enfants dans des rituels sataniques, Rio de Janeiro, 28 août 2003 (AFP) :

« Le procès de cinq personnes accusées d’avoir torturé, castré et assassiné cinq enfants de 8 à 13 ans dans des rituels de magie noire à Altamira, une ville d’Amazonie, vient de s’ouvrir avec treize ans de retard. Le secrétaire spécial pour les droits de l’Homme, Nilmario Miranda, a déploré jeudi que la justice ne soit que “partielle” puisqu’une seule des sept enquêtes ouvertes sur les crimes commis entre 1989 et 1993 sur 19 enfants avait donné des résultats et permis de traduire les présumés coupables en justice. Les cinq accusés dont la dirigeante d’une secte, Valentina de Andrade, 75 ans, ont réussi pendant toutes ces années à entraver les enquêtes par un trafic d’influence, en faisant disparaître des preuves et en intimidant les victimes. La dirigeante de la secte et deux médecins ayant pratiqué les émasculations seront jugés à partir de mardi prochain ».

Article paru dans le journal « Le Matin » paru le 25 juillet 2001 : « Après le saccage d’un cimetière à Lucerne, la police a arrêté six personnes. Ces déprédations de plus de 90 tombes ne sont pas des actes isolés. Il s’agirait plutôt d’une descente aux enfers. En effet, ces actes font suite à une série de 9 profanations satanistes depuis 1997 en Suisse. »

Article paru dans le journal « Le Courrier » du 18 mai 2001 : « L’assassin du curé de Kingersheim (Alsace) a été condamné à 20 ans de réclusion criminelle. Il invoquait une “pulsion satanique”. L’expert chargé d’étudier son cas a estimé que ses fréquentations avaient pu susciter une “émulation préjudiciable”… Il s’est par ailleurs inquiété de la banalisation de la mort que véhiculaient certains médias et certains groupes de musique “black metal”. »

Voici des exemples parmi un nombre qui ne cesse de croître de « faits divers » qui se produisent au milieu des sociétés sataniques ; aujourd’hui, ils sont portés à la connaissance du grand public qui continue à nier le phénomène. Dans notre monde cartésien, l’on ne croit plus à l’existence du Diable ; on minimise les faits en préférant parler de déséquilibrés mentaux. Or, le satanisme est une réalité, le démon est une réalité, et le satanisme tue.

 

 

Un peu d’histoire

 

Brite Aleister Crowley portant un chapeau où il est représenté le symbole des illuminati.

 

Le « père du satanisme moderne » est l’anglais Brite Aleister Crowley (1875 – 1947). Enfant déjà, il se comportait d’une manière anti-christique. Très vite, il se joignit à un groupe occulte et se fit appeler frère Perdurabo. Le changement de nom est une pratique courante chez les satanistes, comme chez les chrétiens. C’est une manière de renommer les choses, de changer en profondeur son être. Cette habitude, chez les satanistes, permet aussi de brouiller les pistes et de rendre les recherches plus difficiles.

Crowley prône le refus radical du christianisme, la priorité absolue au moi et l’usage de la magie pour sa propre satisfaction, y compris sexuelle. C’est le satanisme moderne. Crowley se considérait comme l’incarnation de Satan et se faisait surnommer « La grande Bête ». Crowley appartenait à des sociétés secrètes et était franc-maçon. 

On doit la première formation d’un mouvement concret, l’Église de Satan, à Anton LaVey. C’est lui qui a fondé le satanisme LaVeyen (voir article). Il érigea donc la première Église de Satan et écrivit la Bible Satanique ainsi que différents ouvrages comme la « Déclaration de Foi du Satanisme » pour les adeptes qui voulaient être initiés. Juste pour l’information, Anton LaVey était franc-maçon.

On comprend que le satanisme prône la fausse liberté, cette liberté relative imposée par des règles. Car, oui, contrairement à ce que l’on veut nous faire croire, dans le satanisme, il y a des règles à respecter. Le sataniste n’est pas libre, il croit être libre. Il doit obéir à une certaine hiérarchie, se plier à des rites et surtout, on lui défend de quitter la secte. Dans le satanisme, il n’y a plus de choix possible. Or, la véritable liberté est la possibilité de faire un choix. C’est cela le libre-arbitre, la possibilité de choisir entre le bien et la mal. Si l’on choisit le bien, c’est en toute connaissance que nous nous donnons volontairement au Seigneur qui respectera toujours notre liberté. Si l’on choisit le Mal, c’est toujours en toute connaissance, à la différence, que Satan rendra ses adeptes esclaves de quelque chose. Cela peut être le sexe, le pouvoir, l’argent, la drogue, l’alcool… Finalement, Satan rend ses adeptes esclaves du monde et empêche l’élévation spirituelle, celle qui procure la paix, la joie et l’espérance, et celle qui mène au Salut. 

 

 

Les différents groupes de satanisme

Il existe beaucoup de groupes différents de satanisme. Pour faire court, je vais vous en présenter deux.

  • Le Neo-Satanisme occulte

Ici sont regroupées toutes les églises de Satan qui s’organisent autour des adorateurs du Diable et qui se sont développées à partir du satanisme LaVeyen et de la doctrine de Crowley. Les membres de ces groupes vénèrent Satan et pratiquent des rituels sataniques. Les satanistes tiennent ces séances secrètes et ne sont pas identifiables dans leur vie privée. Ils n’affichent pas de signes distinctifs, ils travaillent, font leur course, mènent une existence normale aux yeux des autres, de la famille, des voisins, des amis. Ces groupes se sont surtout développés aux États-Unis, en Afrique du Sud et maintenant en Europe où elles gagnent du terrain.

 

  • Le satanisme syncrétique des jeunes

Le mot syncrétisme signifie une combinaison de doctrines et de religions non cohérentes entre elles.

Le satanisme syncrétique est surtout un satanisme « fait maison » comportant un mélange de pratiques magiques et occultes des plus variées. Les jeunes sont très friands de satanisme syncrétique.

Il existe des cercles fermés pratiquant ce genre de satanisme où l’entrée se fait grâce à des épreuves. Ces tests consistent en l’évocation des esprits par le spiritisme, le pendule… ou par un mouvement de protestation contre la société ou encore en écoutant certains types musiques.

 

Ajoutons à cela toutes les pratiques gnostiques. En effet, la gnose est la connaissance de Dieu pour devenir Dieu. C’est profondément luciférien. Les gnostiques pensent que s’ils connaissent Dieu, s’ils connaissent sa Parole et son enseignement, ils peuvent alors s’élever au rang de divinité. C’est satanique !

 

Le recrutement des membres

Un adolescent mal dans sa peau, incompris, ne trouvant aucun réconfort auprès de sa famille, peut facilement tomber dans les pièges tendus par les satanistes. Le satanisme attirera ce jeune, car il lui promet une façon de vivre selon ses propres désirs, surtout sexuels. Mais aussi par curiosité, par recherche d’une sécurité d’appartenir à un groupe qui lui ressemble, par l’impression de ne plus être seul, par la recherche d’une identité, par goût de l’aventure et le goût de réaliser de nouvelles expériences.

Le recrutement peut aussi se faire au moyen de la musique.

Les moyens de recrutement sont nombreux et variés. Au début, les satanistes vont montrer aux jeunes qu’ils sont libres, qu’ils peuvent se révolter contre la société, qu’ils appartiennent à un groupe soudé… Mais tout n’est qu’illusion !

 

 

Les satanistes

Les vrais responsables de la propagation rapide de l’idéologie satanique ne se trouvent pas seulement au sein des groupes sataniques, mais aussi au sein d’hommes et de femmes qui diffusent cette idéologie en se servant des médias, de la télévision, du cinéma, des publicités… Ces hommes et ces femmes appartiennent aux sociétés secrètes dont je vous ai parlé plus haut. Ils suivent un calendrier gnostique, un plan démoniaque pour asservir les peuples et mettre en place le NOM. Ils dirigent le cinéma, les médias, les publicités, la culture, la musique… Ils nous mettent en tête des idées fausses propagées par matraquage médiatique, publicitaire… Ils nous mettent en tête des idées sataniques… Ils inversent les valeurs morales, détruisent la famille et diffusent une culture mortifère.

On trouve toujours plus de films à caractère occulte. Même dans les dessins animés destinés aux enfants, on montre à nos petites têtes blondes comme c’est génial et amusant de pratiquer de la magie ! Des magazines pour adolescents, comme Bravo ou Bravo Girl… jouent aussi un rôle dans la diffusion des idées sataniques. Sans parler des artistes !

Dans le magazine Bravo, on trouve des articles aux noms révélateurs : « Comment recevoir votre message de l’Au-delà », « Le pendule dit la vérité » ou encore « Cours accéléré pour apprendre la signification des cartes ».

Depuis les années 60, la culture occulte et satanique fait partie intégrante de la musique connue, des tubes écoutés en boucle à la radio.

Mais parmi les méthodes de séduction les plus efficaces chez les jeunes, on trouve les fameux jeux de rôle où l’adolescent se met dans la peau d’un personnage qui possède des pouvoirs magiques. Je pense notamment au jeu « Fantasy ». Il en existe bien d’autres ! Et l’on présente ces jeux comme une occupation innocente, ce qui est encore plus dangereux. D’ailleurs, dans le jeu de rôles Fantasy, Gary Gygax, l’un des pères des jeux de rôles, recommande que toutes les formules de magie et sortilèges se trouvant dans le jeu doivent être prononcées à hautes voix. Ainsi, les puissances sataniques sont présentes et peuvent attaquer !

 

 

Les dangers du satanisme

 

Bahomet et le logo de la Franc-maçonnerie. On y retrouve le serpent enroulé sur le bâton.

 

Les conséquences d’être en contact avec une secte satanique ou des satanistes ou d’adhérer à certaines idées sataniques, de pratiquer des rituels, de la magie, ne sont pas à prendre à la légère. Ces conséquences dépendent de l’intensité des liens avec le domaine occulte. Ces liens peuvent entraîner différents maux comme :

 

  • L’isolement social

Qui part à la recherche de cette pseudo-liberté qu’offre le satanisme tombe obligatoirement dans les griffes de Satan et s’isole des autres, de ses parents, de sa famille, de ses amis… Dans le satanisme, la communion n’existe pas. C’est le chacun pour soi. L’amour, l’amitié, la faiblesse ne sont pas autorisés. Du coup, le sataniste se cloître et n’arrive plus à communiquer avec les autres.

 

  • Les perturbations psychiques et corporelles

Toutes les victimes de Satan parlent de sentiments de peur, de cauchemars, de visions effrayantes… Sans parler de ceux qui ont subi des abus sexuels lors de rituels et qui gardent des séquelles psychologiques indélébiles ainsi que de graves séquelles physiques. Car, on ne peut le nier, dans les rites sataniques, il y a des abus psychiques, physiques et sexuels.

 

  • Liaisons occultes et possession

C’est le dernier stade. Ici, le sataniste se retrouve incapable de se libérer des forces occultes qui le contrôlent. Il devient, alors, incapable d’aimer, de construire un foyer, d’éprouver du plaisir. Il est en proie à de douloureux maux, à des visions effrayantes, ressent le besoin de se faire mal et de faire mal aux autres. C’est la possession démoniaque. Il lui devient impossible de quitter le milieu satanique. Le seul moyen de ne plus souffrir est le suicide.

Peu de personnes réussissent à quitter une secte satanique. Cela demande un effort considérable. En plus, les membres jouent sur l’intimidation et n’hésitent pas à proférer des menaces de mort. Mais pour celui qui y parvient, il doit se convertir, revenir à Jésus-Christ, brûler tous les objets en rapport avec le satanisme. On conseille un changement de cadre de vie afin de mettre le plus de distance possible avec les autres satanistes.

 

 

Les signes qui doivent attirer l’attention

Si une personne commence à manifester du mépris pour le christianisme alors qu’elle était croyante ou qu’elle n’y prêtait pas d’attention particulière, cela peut être un signe. S’ajoutent d’autres signes distinctifs, comme un vif intérêt pour les films occultes, pour les livres de magie, pour certains jeux de rôles, pour la magie, les jeux de tarots, l’horoscope… On peut aussi trouver des signes occultes chez la personne pratiquant le satanisme, comme porter une croix inversée, un pentagone ou se graver sur la peau le nombre 666.

Le sataniste parle souvent en vers et est capable de prononcer des phrases à l’envers. Il écoute de la musique satanique, surtout des groupes de Heavy Metal. Leurs ongles sont longs et parfois laqués de noirs. Mais, tous les satanistes n’ont pas les ongles longs. Ils s’habillent de vêtements sombres la plupart du temps. Ils s’isolent de leur famille, leur comportement se modifie, ressentent des peurs incontrôlables, cauchemardent la nuit et surtout, ils possèdent la bible satanique de LaVey.

L’un ou plusieurs de ses signes doivent nous rendre vigilants. Mais, dans notre monde actuel, le sataniste est quelqu’un de “normal” pour notre société, qui a un travail et qui exerce une certaine influence dans la société. On le reconnaît par les fruits qu’ils portent, on le reconnaît par ses discours qui sonnent faux pour celui qui sait discerner. 

 

 

Le satanisme est une réalité. Le satanisme est dangereux, car il entraîne vers la désolation. Les rites sataniques sont sanguinaires. Parfois, des enfants sont sacrifiés sur l’autel de Satan. Tout cela existe, l’on connaît les risques, mais tout le monde ferme les yeux sur cette réalité. Je vous demande, chers lecteurs, de rester vigilants, ne vous faites pas abuser par de belles paroles. Fuyez Satan, fuyez ses adeptes ! Le combat est spirituel et doit être mené par tous. Il est temps de remettre Dieu au centre de nos vies pour repenser nos sociétés et les amener à plus d’humanité. Courage, persévérance, bienveillance. 

 

Marie d’Ange

 

 

Pour aller plus loin

 

 

Sources : info-sectes.org, documystère. com

 

Tweet

Étiqueté , , ,

2 commentaires sur “Les sectes sataniques, réalité ou fiction

  1. Concernant les jeux de rôles cela dépend des jeux aussi, il y a une notion du bien et du mal, sans cela le côté “jeu” (même si c est plus une narration vécue) perdrait son sens.

  2. Je voudrais juste signaler que les croix chrétiennes inversées sont à tord associées au christianisme alors qu’elles sont à la base un symbole purement chrétien (Saint Pierre, qui estimait ne pas avoir à être crucifié de la même façon que le Christ, a donc été crucifié la tête tête bas. Depuis la croix inversée est le symbole du Pape qui est l’héritier de Saint Pierre, premier évêque de Rome).

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

CommentLuv badge

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

error: Halte au plagiat
%d blogueurs aiment cette page :