Je trouve malsaine la façon dont certains prêtres parlent des Pharisiens, comme s’ils n’étaient qu’un exemple historique de ce qu’il ne faut pas faire. Or, les pharisiens sont bien plus que cela. Les pharisiens sont avant tout des antichrists. Ce sont eux qui ont fait condamné Jésus. Ce sont eux qui ont perverti la Loi. Ce sont eux que l’on appellent aujourd’hui les Kabbalistes, les élites pédosataniques, les talmudistes ou encore les Illuminati. Ce sont eux qui veulent établir le Nouvel Ordre Mondial pour accueillir leur Messie, c’est à dire l’Antichrist.
Mais, en n’enseignant plus qui sont ces pharisiens, nous ne pouvons les combattre. On nous a enlevé notre faculté à pouvoir les combattre car nous manquons de discernement. Et d’ailleurs, beaucoup de chrétiens se comportent comme des pharisiens.
Apprenez à distinguer un pharisien afin de vous comporter comme un chrétien et non comme un antichrist. Pour cela, il suffit de lire la Bible, car tout est inscrit dans la Bible pour celui qui sait la lire. Apprenons surtout à ne pas nous comporter comme un pharisien. Pour vous aider, voici quelques pistes, quelques caractéristiques d’un pharisien des temps modernes selon les Saintes Écritures, afin que vous puissiez le confondre.
Le levain du désordre
Jésus nous dit « gardez-vous du levain des Pharisiens » (Mc 8,15). Le rôle du levain est intéressant : il se répand petit à petit à l’ensemble du pain.
Quand nous agissons comme les Pharisiens, nous semons la zizanie chez les fidèles. Nos intentions sont souvent bonnes, mais nos actions suscitent le trouble et une mauvaise “fermentation”. Si le fruit de nos actions est la peur, la colère et l’inquiétude, au lieu de la paix, l’amour et la joie, nous savons que le Seigneur n’est pas à l’œuvre.
Experts en surveillance
Un passage de l’Évangile me fait toujours rire : Jésus traverse un champ avec ses disciples un jour de sabbat. Les disciples cueillent du blé car ils ont faim. Les Pharisiens (cachés dans les champs !) surgissent et accusent Jésus car ses disciples ont violé le sabbat (Mc 2, 23–24).
Lire aussi : Les Pharisiens dans la Bible et Les caractéristiques des Pharisiens.
Les efforts incessants que déploient les Pharisiens pour trouver de possibles erreurs dans le comportement de Jésus ou de ses partisans sont absurdes. Nous devenons des Pharisiens lorsque nous regardons le monde extérieur en cherchant ce qui ne va pas. Rien n’est jamais assez bien pour un Pharisien, et rien ne mérite qu’on se réjouisse, si ce n’est les malheurs des autres.
Apprenez à voir le verre à moitié plein au lieu de le voir à moitié vide. Les médias nous plongent sans arrêt dans la noirceur du monde, ils nous montrent que les catastrophes. Pourtant des choses bien sont réalisées dans le monde, des initiatives merveilleuses, des actes de bravoure… mais on ne nous parle que des malheurs et des catastrophes. Le mieux est encore d’éteindre son téléviseur, afin de ne plus être esclave de cette noirceur que l’on nous impose au quotidien.
La vantardise
Le Pharisien croit que prier signifie se vanter de toutes ses bonnes actions. Or, prier, ce n’est pas cela. Prier est une communion avec le Créateur, une demande humble envoyée au Créateur. Nous devons nous abaisser devant Dieu et non nous vanter de nos bonnes actions.
De nombreux chrétiens, lorsqu’ils prient, agissent comme un pharisien. Or, en raisonnant ainsi, ils s’éloignent d’une vérité : la vraie sainteté se concentre sur ce que l’on peut améliorer en chacun de nous et non sur ce que nous avons fait de bien. La sainteté n’est pas ce que nous avons fait de bien et de nous en vanter, elle est basée sur ce que nous pouvons encore réaliser de bien.
Le plus gros problème lorsque l’on prie avec vantardise, c’est que nous ne sommes plus humbles. Au contraire, on se juge honorable d’être digne de Dieu. Or, le seul juge c’est Dieu. En agissant ainsi, on risque de stagner, de ne plus faire d’effort pour s’améliorer. Soyons attentifs à cela.
Une relation malsaine à l’autorité
Le pharisien a une relation ambigüe de l’autorité. Il lui est difficile de reconnaître celle de Dieu. Le pharisien a tellement une relation ambigüe avec l’autorité qu’il rédige des lois que lui même ne respecte pas ! Le pharisien ne se soumet pas à l’autorité divine, il veut être cette autorité divine.
C’est pour cela que le pharisien épiait et critiquait les autres. Et nous, lorsque nous ne reconnaissons pas les médiateurs de Dieu sur Terre, nous les critiquons, et nous les remettons en question. Parfois, cela en devient une obsession. Nous refusons alors de voir la Vérité, nous refusons de l’écouter, sous prétexte que celui qui nous la livre est l’opposé de l’idée que nous nous faisons d’un messager de Dieu.
Une rigueur impitoyable
Il dit encore cette parabole, à l’intention de certaines personnes qui étaient convaincues d’être justes et qui méprisaient les autres : «Deux hommes montèrent au temple pour prier; l’un était un pharisien, l’autre un collecteur d’impôts. Le pharisien, debout, faisait cette prière en lui-même: O Dieu, je te remercie de ce que je ne suis pas comme les autres hommes, qui sont voleurs, injustes, adultères, ou même comme ce collecteur d’impôts. Je jeûne deux fois par semaine et je donne la dîme de tous mes revenus.
Le collecteur d’impôts, lui, se tenait à distance et n’osait même pas lever les yeux au ciel, mais il se frappait la poitrine en disant: O Dieu, aie pitié de moi, qui suis un pécheur.
Je vous le dis, lorsque ce dernier descendit chez lui, il était considéré comme juste, mais pas le pharisien. En effet, toute personne qui s’élève sera abaissée, et celle qui s’abaisse sera élevée.»Luc 18:9-14
Cette parabole du Pharisien et du collecteur d’impôts nous montre que le pharisien est imbu de sa propre bonté, alors que le publicain (le collecteur d’impôts) connaît la gravité de son péché et implore la pitié de Dieu, son pardon.
Jésus, dans cette parabole, met en présence deux hommes que tout oppose, dont les dispositions morales sont aux deux pôles extrêmes de la vie religieuse. Il nous montre que l’homme révèle ce qui remplit son coeur dans la prière. Le pharisien est imbu de sa personne et n’aime donc que lui, alors que le publicain est conscient de ses péchés, est conscient du mal qu’il fait aux autres par son métier, et demande humblement le pardon du Seigneur. Le publicain les autres, sinon il ne chercherait pas le pardon de Dieu.
Le pharisien se tient debout, la tête haute. Il est plein d’assurance. Le pharisien se juge digne du Seigneur et pour cela, il n’hésite pas exagérer les vices des autres pour se glorifier et peut même aller jusqu’à la calomnie. Il méprise le publicain. Au contraire, ce dernier regarde le sol, il se tient à distance du sanctuaire, il n’ose pas lever son regard vers le ciel, il se frappe la poitrine en signe de douleurs. Sa prière est une humble confession, elle est comme un cri de l’âme adressée au Créateur.
Beaucoup de chrétiens n’hésitent pas à se glorifier et à calomnier son prochain pour mieux se faire voir auprès des autres. Cela est une attitude de pharisien.
Enfin, sachez que Jésus a pris un collecteur d’impôts pour apôtre en la personne de Matthieu. Dans le temps de Jésus, les collecteurs d’impôts étaient très mal vus par la population, car ils travaillaient pour l’ennemi, c’est à dire les romains. En demandant à Matthieu de le suivre, Jésus a montré que tout le monde avait le droit à la repentance pour un peu qu’il la demandait humblement. Or, le pharisien est incapable de repentance tant il est imbu de sa personne.
Par cet article, j’ai simplement voulu faire comprendre que de nombreux chrétiens sont tombés dans les pièges tendus par les pharisiens et se comportent comme des pharisiens. Beaucoup de chrétiens prient le dimanche à la messe, mais la semaine, ils s’amassent des objets, calomnient leurs collègues, se glorifient… Attention à cela, car il est à présent temps de se comporter comme de vrais chrétiens afin de combattre les pharisiens que l’on appellent aussi les Illuminati, les Kabbalistes, l’élite pédosatanique, les francs-maçons… car ces pharisiens aujourd’hui sont partout, et surtout, ils dominent le monde et imposent leurs idées antichristiques.
Marie d’Ange
Pour aller plus loin
Et vous en pensez quoi des prêtres pédophiles dans la chrétienté? Moi je suis Antéchrist et fière de l’être!!! Mais pas pour autant sataniste. Pour moi la religion fait trop de mal dans ce monde!!!
Cher Jaume,
Vous me posez la question de ce que je pense des prêtres pédophiles. Un pédophile, et cela peu importe sa nationalité et sa religion, reste un criminel, un ignoble criminel et un détraqué sexuel, une personne à enfermer à vie. On ne touche pas aux enfants ! Nous devons les protéger contre ces redoutables prédateurs. Maintenant, plus précisément, concernant les prêtres pédophiles, ils sont des êtres ignobles, des fils du Diable. Eux qui devaient annoncer la Bonne Nouvelle, font le Mal. On ne va pas se cacher que l’Église est gangrénée par le satanisme. La franc-maçonnerie a réussi son plan d’entrer dans l’Église afin de la corrompre de l’intérieur. C’est pour cela, et là je pense comme vous, que la religion fait beaucoup de mal à la foi. Je n’ai pas de religion, seule ma foi en Jésus-Christ compte. Mais sachez le, il n’y a pas que dans l’Église que se terre les pédophiles… ce qui n’est pas une excuse pour eux. Mais lorsque l’on veut dénoncer la pédophilie, on s’attaque à tous les pédophiles, car croyez-moi, ils sont très nombreux qui occupent des postes importants dans les gouvernements, ou qui sont adulés et mis au rang de stars internationales ou qui ont réussi à faire de cet ignoble crime un acte légal.
Ceci étant dit, vous dites que vous êtes Antéchrist. Pourquoi ? Etes-vous né avant le Christ ? Car étymologiquement, le mot antéchrist veut dire celui qui vient avant le Christ. Peut-être vouliez-vous dire Antichrist, c’est à dire celui qui est contre le Christ ? Si tel est le cas, je vous plains réellement, de tout mon cœur, car jamais vous ne connaîtrez la paix et l’Amour, ni la Vérité, ni la quiétude. Vous savez, le Christ ne vous a rien fait, Il est venu apporter la vie, la paix, et est venu sauver l’humanité. Être contre Lui, c’est croire en Lui, mais lui préférer Satan, c’est à dire l’ange de la perdition, le Malin, le Diable… Et Satan, son but est la destruction de l’humanité.
C’est comme le sataniste : il est croyant, il croit en Jésus-Christ qui est devenu son ennemi par excellence. Tous les satanistes sont croyants.
Passez une belle journée,
Marie d’Ange