On trouve à Illfurth, une petite commune d’Alsace, une statue de la Vierge-Marie en fonte dorée datant de 1872, commémorant la libération de deux enfants possédés. Cette statue rappelle les faits tragiques qui ont bouleversé ce petit village du Haut-Rhin, une affaire de possession démoniaque très troublante.
Les débuts de l’histoire
Nous sommes à l’automne 1864, dans la commune d’Illfurth, petit village de 1200 habitants. Ici vivent deux frères, Théobald et Joseph Burner, âgés respectivement de 9 et 7 ans. Joseph et Marie-Anne Burner, les parents, ne sont pas bien riches, mais sont décrits comme des gens tranquilles, sans histoire. Pourtant, le Mal va toucher cette famille sans prévenir.
Une maladie curieuse vient subitement frapper Théobald et Joseph, une maladie aux symptômes anormaux, une maladie que les médecins n’arriveront pas à diagnostiquer ni à soulager. Les enfants perdent du poids à vue d’œil, mais cela n’est pas le pire, puisque, couchés sur le dos, ils se mettent à tourner sur eux-mêmes comme des toupies, sans pouvoir s’arrêter, en criant qu’on leur veut du mal. Puis, ils se cognent violemment contre les meubles, les murs, en hurlant qu’on les force à faire cela, puis tombe à terre, en se contorsionnant, sont frappés de convulsions, puis s’évanouissent pendant des heures, et à leur réveil, ne se souviennent plus de rien et réclament même à manger.
Le docteur Levy, le médecin d’Altkirch, est appelé, mais il ne peut rien faire pour ces enfants tourmentés par un mal inconnu. Il demande l’aide de ses confrères, les docteurs Weyer, Krafft, Szertecki, mais aucun de ces médecins n’arrive à poser un diagnostic sur cette maladie qui tue à petit feu les enfants.
Parfois, leur ventre se gonfle, comme s’il y a un animal à l’intérieur qui cherche à s’échapper et qui déforme la paroi abdominale. Théobald, prostré dans la peur, raconte qu’un monstre horrible le suit partout où il va, un monstre ayant la forme d’un énorme oiseau, avec un bec de canard, des mains griffues et un affreux plumage. Il voit souvent cette bête planer au-dessus de lui, parfois elle cherche à le tuer en l’étranglant. Pour se défendre, l’enfant attaque l’oiseau et lui arrache des plumes, plumes qui se matérialisent comme par enchantement. Aussitôt, ses parents les brûlent. Une odeur fétide, insupportable se dégage des plumes. Et curieusement, ces plumes ne laissent aucune cendre. Plusieurs témoins, dont les médecins, ont vu ces plumes affreuses et ont pu constater l’odeur fétide qu’elles dégageaient et l’absence de cendre après leur destruction.
Parfois, les enfants sont soulevés de leur chaise par une force invisible et jetés contre un mur.
On fait prendre aux enfants des traitements, on essaie le chloroforme pour les apaiser, du vin de quinquina, des médicaments. Le mal semble même empirer. Au point que les enfants Burner se trouvent à présent clouer au lit, sans force, affaibli, perdant du poids à vue d’œil, le corps douloureux que d’effroyables picotements démangent. Ils restent ainsi des heures entières, prostrés, calmes, puis tout à coup se redressent, s’énervent, crient. Leur voix n’est pas leur voix, elle n’est pas la voix d’un enfant de 9 ou 7 ans, mais la voix d’un homme.
Tout le monde est désemparé, les médecins ne savent plus quoi prescrire pour soulager Joseph et Théobald. L’un des médecins va penser à la possession démoniaque et va appeler le curé du village, Charles Brey, à la rescousse. La nouvelle d’une éventuelle possession démoniaque dans le village s’ébruite rapidement, et beaucoup de curieux se pressent devant le domicile des Burner pour voir les enfants, ce qui n’arrange pas les choses.
L’origine du Mal
En dernier recours, le père Charles Brey vient voir les enfants Burner. Il tente d’approcher vers eux un objet bénit, un crucifix, une médaille… Aussitôt, les petits possédés entrent dans une violente colère. Il cite le nom de la Sainte Trinité, c’est pire encore. L’invocation des noms de Jésus, de Marie, du Saint-Esprit les fait trembler de peur.
Les parents sont effrayés, impuissants, d’autant plus que maintenant, de nombreux voisins et curieux viennent chaque jour plus nombreux assister à ce spectacle, chacun voulant approcher les enfants. On s’interroge sur l’origine de ce Mal qui ronge ces enfants. Et là, les spéculations et les hypothèses vont bon train. Des rumeurs circulent, on accuse même les parents des petits possédés de s’être donnés au démon.
Bientôt, on accable une vieille dame habitant à Illfurth, une solitaire à la mauvaise réputation. On savait qu’on l’avait chassée de son pays natal à cause de ses mœurs dépravées. Très vite, on l’accusa de sorcellerie, car on avait, dans cette dame, le portrait parfait de la sorcière du XVIIe siècle. Mais, on ne pouvait désigner coupable une personne sans preuve, et cette affaire resta dans le domaine de l’hypothèse.
Cependant, les évènements prennent une telle proportion que les autorités décident d’intervenir. Partout, on parle de ces enfants torturés par le Diable et s’exprimant dans plusieurs langues, dont le latin, l’anglais, l’espagnol et le français, eux qui ne parlent que le dialecte alsacien. L’effroi et la peur gagnent tout le village au point que les autorités civiles et religieuses ordonnent une enquête pour calmer les esprits.
L’enquête des autorités et les exorcismes
Ce début d’enquête sonne comme un soulagement pour les parents de Théobald et Joseph. Enfin, on allait s’intéresser à eux et peut-être trouver une solution et délivrer les enfants de ce Mal surnaturel qui les ronge.
Le père Charles Brey n’avait pas quitté les parents depuis qu’il avait constaté l’état des enfants Burner. Très pieux, il avait vite compris que le mal dont souffraient les enfants était d’origine diabolique et que l’on avait affaire ici à deux cas de possession démoniaque. Il avait alerté son supérieur hiérarchique, l’évêque de Strasbourg, dans une lettre datant du 8 février 1868, lettre conservée dans les archives départementales. Dans cette lettre, il dresse un exposé succinct de la situation.
L’évêque de Strasbourg ordonne alors un exorcisme qui sera tenté par les moines bénédictins résidant à Einsiedel, en mai 1868, afin de dresser un premier bilan. Après cet exorcisme, qui ne permit pas la délivrance des enfants Burner, le père Brey adresse un second rapport à l’évêque d’Alsace qui envoie une commission sur place au printemps 1869 pour évaluer la situation. Cette commission est composée de trois théologiens, Ignace Spies, maire de Sélestat, le directeur de la régie à Sélestat, monsieur Martinot et monsieur Lachermann, professeur de théologie et membre de la congrégation des Frères de Marie. Cette enquête officielle révéla ce que l’on savait déjà : Théobald et Joseph Burner sont possédés et il s’agit de deux cas de possession multiple. Mais pourquoi était-ce arrivé ? Cette affaire montre que les démons peuvent attaquer n’importe qui, qu’ils sont cruels au point de s’attaquer à des enfants.
Plusieurs entités démoniaques avaient élu domicile dans les corps des enfants. On décide de commencer les séances d’exorcisme pour délivrer ces pauvres victimes innocentes.
Au cours d’un exorcisme réalisé par le père Souquat, les démons furent soumis à dévoiler leur nom. Ainsi, les démons Orobas et Ipès possédaient Théobald. Orobas est un puissant démon que l’on retrouve dans les croyances de la goétie. Ce démon est un puissant duc de l’Empire infernal, dont la particularité est qu’il ne peut mentir à l’exorciste et que contraint par lui, il révèle les mystères de la création divine. Ce démon ne peut supporter que sa victime se tourne vers la religion. Quant à Ipès, c’est l’autre nom du démon Ayperos, il est aussi un démon issu des croyances de la goétie. Lorsque l’on sait cela, on peut supposer que ces démons ont été appelés par un sorcier lors d’un rite magique ou de messe noire. Ayperos peut provoquer la surdité chez sa victime et Théobald était devenu sourd, mais il recouvrira l’ouïe après sa délivrance.
Un des démons qui s’attaquent à Joseph déclare s’appeler Solalethiel ou Zolalethiel, mais on ne put en apprendre plus sur ce démon. En démonologie, Solalethiel et Zolalethiel sont inconnus. Encore une ruse du démon pour nous tromper ? Il y avait un second démon dans le corps du petit Joseph, mais le prêtre-exorciste ne put le contraindre à dévoiler son nom. Ce deuxième démon répondait aux questions des théologiens en différentes langues, surtout en anglais et en français.
En février 1868, l’évêque de Strasbourg demanda au préfet du Haut-Rhin de surveiller les deux enfants Burner afin de prévenir une éventuelle supercherie. Déjà à cette époque, l’Église se montrait très prudente avec ce genre histoire et ne voulait pas d’un nouveau scandale qui viendrait l’entacher une fois de plus. Deux sœurs de Niederbronn, Sevara et Methula, sont envoyées sur place afin de surveiller les enfants. Sur place, elles constatent, alors que même Joseph et Théobald ne parlaient pas correctement le français, mais seulement l’alsacien, que maintenant les deux enfants s’expriment clairement en français et dans d’autres langues.
Les deux frères sont séparés l’un de l’autre, transférés chacun dans une pièce de l’ancienne école d’Illfurth où ils sont gardés nuit et jour. En effet, le sous-préfet d’Altkirch pensait que le père des enfants avait mis cette supercherie en route afin d’en tirer profit. La première fois que les sœurs vont les voir, elles sont stupéfaites de constater que les deux enfants, pourtant séparés l’un de l’autre et qui n’étaient pas mis au courant de cette visite, les appellent par leur nom de religieuse et disent qu’ils les attendaient. Ils donnent même le nombre de frères et sœurs de sœur Severa et lui dévoilent quelques secrets de famille.
Après ces faits, au début de septembre 1869, Théobald est transféré en observation à l’orphelinat Saint Charles de Schiltigheim. Ce sont les sœurs de la Charité qui dirigent cette institution. Là, le jeune garçon est observé, scruté dans les moindres détails. Je rappelle que Théobald est devenu sourd, il est maigre, pâle, toujours inquiet, toujours sur le qui-vive. Souvent, il se promène dans la cour de l’orphelinat, mais refuse d’entrer dans la chapelle. Il ne parle à personne, reste à l’écart des autres enfants.
Souvent, on a voulu l’emmener de force dans la chapelle, mais là, il entrait dans une vive colère, et se mettait à aboyer comme un chien. Enfin, les autorités ecclésiastiques concluent à un cas de possession multiple et ordonnent un exorcisme.
Le 3 septembre 1869, le père Souquat entreprend l’exorcisme avec l’aide de cinq ecclésiastiques. Thibault est emmené de force à la chapelle. L’enfant se met dans une telle rage que quatre personnes sont nécessaires pour le maintenir. De l’écume coule de ses lèvres. Le prêtre démarre le rituel par les litanies. Soudain, Théobald se met à crier, un crie déchirant, effroyable, glaçant. Son corps tremble et on peine à le maintenir sur sa chaise.
Le prêtre-exorciste ordonne d’arrêter la séance. Il a peur pour la santé du jeune possédé. L’exorcisme reprend le lendemain, toujours avec les litanies. Mais, là, le père Souquat enchaîne avec les prières liturgiques. Théobald entre alors dans une colère vive, forte. Ses yeux deviennent noirs de haine. Il insulte le prêtre. Un dialogue surréaliste se met en place entre le prêtre qui tremble de peur et le démon qui se cache à l’intérieur du corps de Théobald. Mais, le père Souquat, qui sait que le démon veut le détourner de sa tache, s’empare d’un crucifix et le présente à Théobald qui se met à trembler et à crier. Puis, il lui présente une statue de la Vierge Marie et invoque la Vierge de lui venir en aide dans ce combat. Aussitôt, Théobald se met à se tortiller comme un ver. Il ne veut pas regarder la statue de la Sainte Vierge. Son corps se met à craquer, comme si ses os se cassent les uns après les autres. Le bruit est effroyable. Le prêtre veut arrêter le rituel, mais soudain le corps de l’enfant s’affaisse, il se calme et tombe inanimé sur sa chaise. Le père Souquat sait que le démon est vaincu grâce à l’intercession de la Vierge.
On transporte l’enfant dans sa chambre. Lorsqu’il se réveille, il ne se souvient de rien. Il entend à nouveau. Il est délivré. On décide de le renvoyer dans sa famille.
Mais à Illfurth, Joseph est toujours possédé et son état empire de jour en jour. Alors que Théobald se remet de son calvaire, reprend une vie normale, Joseph sombre chaque jour un peu plus dans la désolation. Devant ce fait, le père Brey sollicite l’évêque de Strasbourg pour exorciser le petit Joseph. La demande est acceptée et on prépare l’exorcisme fixé le 27 octobre 1869 à l’ancienne église de Burnkirch à Illfurth. Le lieu et la date sont gardés secrets pour éviter qu’un attroupement de curieux vienne déranger la séance.
Donc, le 27 octobre 1869, Joseph est transporté de force à l’ancienne église. Il est en pleine crise. On l’attache sur une chaise. On commence la messe. Le petit possédé se met à taper du pied, il crie, il aboie, il vocifère, il se tord dans tous les sens. Le père Brey s’agenouille au pied de l’autel et récite les prières de l’exorcisme. Joseph entre dans une colère noire, se met à insulter le prêtre.
Durant trois heures, le prêtre va tenter de libérer Joseph Burner en l’aspergeant d’eau bénite, en appliquant un crucifix sur son front… Soudain, en pensant à la délivrance de Théobald, le prêtre a l’idée d’invoquer la Sainte Vierge. Joseph se met encore plus dans un état de rage. Le prêtre tient bon et demande à la Sainte Vierge d’intercéder pour la délivrance de l’enfant. Soudain, Joseph se calme, s’affaisse sur sa chaise et ferme les yeux.
Le prêtre et ceux qui l’accompagnent n’osent bouger. Au bout de quelques minutes, Joseph se réveille. Il est calme. Il regarde autour de lui. Il ne comprend pas pourquoi il est dans l’église, attaché à une chaise. Il est délivré.
Le 31 octobre 1869, dans l’ancienne église de Burnkirch, on célèbre une messe et l’on fait sonner les cloches pour fêter la délivrance des enfants Burner.
On sait que c’est la Sainte Vierge qui a délivré les enfants, c’est par son intercession que Satan a pu être vaincu. Le père Brey décide d’organiser une cagnotte pour remercier la Vierge. Avec l’argent récolté, il fait ériger, en face de l’ancienne ferme de la famille Burner, la fameuse statue de la Vierge Marie, mémorial sculpté par Victor de Muller de Dannemarie. Voici ce que l’on peut lire sur le socle de cette statue : « In Memoriam perpetuam liberationis uorum possessorum Theobaldi et Josephi Burner, obtentae per intercessionem Beatae Mariae Immaculatae. Anno Domini MDCCCLXIX ».
Je vous donne la traduction de ce texte écrit en latin : « en souvenir perpétuel de la délivrance des deux possédés Théobald et Joseph Burner, obtenue par l’intercession de Marie, la Vierge Immaculée dans sa conception. L’an du seigneur 1869 ».
Nous pouvons nous poser la question de ce que sont devenus les petits possédés d’Illfurth. Théobald est mort dans un accident deux ans après sa délivrance, le 3 avril 1871, à l’âge de 16 ans. Joseph vécut un peu plus longtemps. Il rejoignit son créateur le 13 janvier 1884, à l’âge de 27 ans. C’est le père Brey qui lui administra les derniers sacrements. Ce dernier mourut à l’âge de 68 ans durant l’année 1885. On raconte même qu’après sa mort, le père Brey chassait toujours les démons avec de l’eau bénite.
Voici une histoire vraie qui nous montre la réalité du démon. Tout ce qui s’est passé dans ce petit village alsacien est bien réel comme en témoigne la statue de la Vierge. Ce que nous ne savons pas, en revanche, c’est pourquoi cette possession multiple sur les enfants Burne. Pourquoi les démons se sont-ils attaqués à ces enfants ? Cette histoire nous montre aussi que la possession démoniaque n’est pas mythe, c’est quelque chose de réel, d’effrayant. Aujourd’hui, le Diable n’a plus besoin d’utiliser son pouvoir extraordinaire pour nous entraîner dans la désolation, la tentation suffit. C’est pourquoi les possessions sont plus rares. Aujourd’hui, les attaques démoniaques sont plus subtiles, moins bruyantes, moins spectaculaires, mais la réalité du démon n’en reste pas moins inchangée. Beaucoup de personnes sont en souffrance, beaucoup de personnes refusent de voir que c’est Satan qui tire les ficelles dans notre monde, qu’il utilise les médias, les publicités, les politiques… pour faire nous ses esclaves. Comme je le dis souvent, nous n’avons qu’un seul ennemi, cet ennemi c’est le Diable et le seul moyen de le combattre, c’est la spiritualité.
Sources : isundgau.com
Marie d’Ange
Pour aller plus loin
Pierre Bellemare en a parlé, dans l’un de ses ouvrages … Sauf que pour lui : tout n’était que croyances et supercherie.
Perso, moi : j’y crois pas. Nous pouvons expliquer tellement tellement de choses, avec les maladies mentales et psychiatriques !!!
Qui pourrait démêler le faux de la vérité ? Ce que je retiens, c’est que la médecine n’a pas pu guérir, ni même soulager, ces pauvres enfants, et que l’exorcisme les a libéré. Maintenant, l’histoire se passe au 19e siècle, donc on ne pourra jamais obtenir la vérité.
C’est fou tout ça… :
– de dire que tout n’est que maladies mentales ou psychiatriques car nul ne devrait faire confiance à Freud, menteur et manipulateur, car il était un sabbatéen (et donc sataniste),
– ou de dire dire que nous ne pouvons savoir la vérité car ces faits se passaient au 19ème siècle…
Nous avons été formatés de telle sorte que nous pensons à notre époque dite « moderne » tout savoir, tout expliquer, et donc que nos ancêtres, ceux du 19ème et ceux du 1er siècle, qu’ils étaient ignorants, naïfs (le père Brey devait être un saint prêtre, donc il ne peut mentir, et l’Eglise avait fait tout ce qu’il fallait, en faisant attendre des mois la délivrance des enfants, pour justement prouver qu’elle avait agi avec sagesse)…
C’est pour nous formater que même notre histoire sainte et civile (mais tout est lié) a été modifiée (rationnalisée), que les « sciences modernes » comportent tant d’erreurs (et cela, en vue de nous faire perdre la foi en Dieu, notre Créateur)… N’oublions pas que tout a été mis entre les mains des FM et des anti-chrétiens depuis la Révolution, et depuis la loi de 09/12/1905 où presque tout est entre leurs mains : l’éducation scolaire (et les manuels scolaires modifiés d’année en année), les hôpitaux, les maisons de retraite), les journaux et maintenant les médias modernes (TV, films, infos)…
« Jésus est le Chemin, la Vérité, et la Vie ». Qu’il n’y a qu’une seule Vérité (et c’est logique), n’en déplaise aux gens qui pensent que tout est relatif, que tout ce vaut. .
Il n’y a qu’une seule chose à savoir : que nous ne sommes que de passage en ce bas monde pour quelques années, et que notre véritable demeure est au Ciel, (si et uniquement si c’est notre choix et si nous faisons ce qu’il faut pour cela). Ce qui compte, la seule chose qui compte, c’est que nos âmes soient sauvées (d’où les attaques diverses, du Malin pour nous détourner de Dieu et nous perdre).
Je suis entièrement d’accord avec vous, aujourd’hui tout est fait pour que l’on se détourne de Dieu, pour que l’on ne croit plus qu’en la religion maçonnique de l’athéisme ou pour que l’on ne croit qu’à la science. Mais au delà de la science, il existe l’inexplicable, qui est du domaine de la foi. Et cela, la religion maçonnique, celle qui prône l’athéisme, ne veut pas l’entendre et fait tout pour discréditer l’Église.
Bonjour MARIE!!
Tout ce qui est dit dans ce post est la pure vérité!
Je le sais parce que j’ai moi-même prié pour des personnes atteintes de maladies terribles et de troubles mentaux et qui furent délivrés par la Puissance de Celui qui a seul traversé la Mort et l’Enfer.Et qui est revenu VICTORIEUX du Séjour des morts.JESUS, le Seigneur de l’Univers. Des maladies que la science ne peut ni expliquer, ni guérir définitivement. En Afrique, nous voyons pire en matière d’occultisme.
Que Dieu vous bénisse abondamment au Nom de Jésus… Amen
Bonjour,
Effectivement, le Mal Absolu existe et ses attaques concernent tout le monde. Elles sont dévastatrices. Il ne faut pas tomber dans le piège du tout diabolisation, mais il faut faire preuve de discernement.
Merci pour votre témoignage.
Marie d’Ange