Le roi de France était un tyran

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N’avez-vous pas l’impression que certains livres d’histoire servent des faits historiques erronés afin de coller à certaines idées ? N’avez-vous pas l’impression que certains médias manipulent l’histoire afin qu’elle colle à l’idéologie du moment ? Il est temps de rectifier tout cela, il est temps de détruire tous ces mythes historiques que l’on nous sert à longueur de temps afin de servir une idéologie. Il est temps de se réveiller. Et le premier mythe que l’on va détruire dans cet article est celui du roi tyran.

 

Introduction

Le roi Louis XIV, le roi Soleil, portrait de Hyacinthe Rigaud, 1701.

Ha la Révolution française ! Cette révolution fomentée dans les loges qui a fait de la France une République maçonnique. Cette Révolution qui a mis fin à la royauté. Dans les livres d’histoire, on fait l’éloge de la Révolution française. Mais à aucun moment, on ne nous dit que c’était les francs-maçons qui étaient aux manettes, que c’est la franc-maçonnerie qui a tout organisé, qui a attisé la haine du peuple, qui l’a dirigée vers le roi afin de faire tomber la royauté, et d’établir son règne. Car oui, la République est maçonnique, et sa religion est la laïcité, une laïcité toute relative d’ailleurs, car elle est profondément antichrist. Ce que l’on ne vous dit pas, c’est que la franc-maçonnerie, à travers la chute du roi, ne visait pas le roi lui-même, ni la royauté, mais bien l’Église et la foi au Christ.

Dans trois articles, j’ai expliqué que la laïcité est la grande arnaque de notre République. Dans cet article, je vais tenter de vous expliquer pourquoi le roi, que la République maçonnique nous présente comme un tyran, n’était pas un tyran, et que la République maçonnique est bien plus un tyran que le roi ne l’a jamais été.

Retenez cette phrase de Louis XVI : « Gouverner les hommes, ce n’est pas les asservir ». Et maintenant, réfléchissez…

Le Roi de France n’est pas un tyran

François 1er, premier roi de la Renaissance, portrait de Jean Clouet.

Ces derniers temps, j’ai lu ou relu certaines œuvres de Zola : Germinal, L’Assommoir, la Bête Humaine… J’aime bien les romans de Zola, car ils dépeignent la réalité de l’époque de l’auteur (milieu du XIX, début du Xe siècles), sans fioriture, sans ajout, sans retrait. C’est brut de décoffrage, et c’est ce qui a valu à Zola de nombreuses critiques. Zola décrivait la vérité du quotidien des gens pauvres. Par exemple, l’Assommoir est l’histoire d’une blanchisseuse qui va plonger dans la pauvreté extrême, le tout sous fond d’alcoolisme. L’ouvrage est consacré au monde ouvrier et Zola nous le présente sans mentir, sans chercher à l’enjoliver. Il nous restitue sans chercher à l’enjoliver ni à l’empirer cet univers de l’ouvrier de la fin du XIXe siècle, sous Bonaparte. Un roman naturaliste jugé trop cru, mais qui dépeint fidèlement ce que vivaient les ouvriers à l’époque de Bonaparte, donc après l’abolition de la royauté et la Révolution française. N’avait-on pas promis au peuple une meilleure vie ? Or, l’ouvrier est miséreux. On retrouve ce même tableau d’ouvrier miséreux dans Germinal, où là, les autorités n’hésitent pas à donner l’ordre de tirer sur le peuple. Jamais le roi n’avait fait tirer ou avait donné l’ordre de tuer son peuple ! Elle est belle la République. Et qu’a-t-elle changé du quotidien des ouvriers ? Elle a aboli certains de leurs privilèges, leur a enlevé leurs libertés, comme nous le verrons plus tard.

Et là, certains vont me dire qu’il y a eu des changements positifs : les allocations familiales, la sécurité sociale, l’école gratuite… C’est vrai, mais rien ne nous dit que le Roi n’aurait pas, lui aussi, instauré cela. Certainement qu’il y aurait eu encore de la pauvreté au sein du monde ouvrier, mais le roi n’aurait pas eu la crise des Gilets jaunes, et n’aurait jamais donné l’ordre de tirer sur son peuple.

C’est par décrets que Napoléon a bâti son édifice, et c’est à cause de ces décrets qu’un certain autoritarisme ombrageux s’est installé au sein d’un pouvoir central.

La monarchie avait réuni autour de la couronne d’anciennes provinces, et avait respecté chacune de leur organisation et leurs coutumes. Le royaume était un par la personne du souverain, et multiple par ses institutions.

 

Un décret de 1668

Regardons un décret paru en 1668 signé de Louis XIV que tout le monde peut retrouver sur Internet. Ce décret concernait la Franche-Comté, territoire que le roi venait de conquérir. Voici le premier article de ce décret :

« Toutes choses demeureront en Franche-Comté au même état qu’elles sont présentement… » Une clause garantissait les privilèges et les lois du territoire. Une autre clause interdisait l’introduction d’impôts nouveaux. Voici comment se terminait ce décret : « S.M. promet et jure sur les Saints Évangiles qu’Elle et ses augustes successeurs les tiendront et maintiendront bien et loyalement en tous et quelconques leurs privilèges, franchises et libertés, anciennes possessions, usages, coutumes et ordonnances, et généralement qu’Elle fera tout ce qu’un Prince et Comte Palatin de Bourgogne est tenu de faire. »

Alors, le roi est-il toujours un tyran ? Il avait conquis cette nouvelle province, et pourtant, il l’avait laissée libre. Élargissez cet exemple aux autres provinces ou villes conquises, aux offices et autres métiers pourvus de chartes, de droits, de statuts, d’immunités, et vous comprendrez que la France était libre, et c’est cela qui faisait son rayonnement.

Alors que le concept de liberté qu’a imposé la Révolution n’est rien d’autre que la théorisation du refus de tout ce qui peut de l’extérieur, ordonner l’action de l’homme. Le concept de liberté de la République maçonnique est le rejet de toute autorité qui ne provient pas de soi-même. Avant, le roi laissait les régions se gérer. Aujourd’hui, tout est centralisé, et la bureaucratie complique tout. Et dès lors qu’une action n’est plus libre parce que poussée par une quelconque raison extérieure, alors il devient évident que l’homme n’est plus libre du tout. La République maçonnique nous sert une fausse conception de la liberté, qui débouche nécessairement sur une absurdité totale.

La vraie liberté, c’est Dieu qui nous l’a donnée. Dieu a créé l’homme libre, non pas libre de faire ce qui lui plaît, mais libre d’agir en fonction d’un choix ou d’un jugement. Ainsi, l’homme se place sous l’autorité de son Créateur, et sa liberté devient juste, et c’est parce que cette liberté est juste, qu’elle ne peut être servile ou autoritaire. L’idée révolutionnaire de liberté devient unique, alors que la vraie liberté est multiple. En effet, d’un point de vue social, ces libertés sont nombreuses et elles sont données aux hommes afin de réaliser leurs réelles compétences. Telle était la conception qui prévalait sous la royauté. À l’État le soin de la direction générale des affaires, de la paix intérieure et de la sécurité extérieure de la nation, attributs régaliens conformes au domaine de compétence du roi et donc relevant de son autorité – mais libertés partout ailleurs et dans chaque ordre en raison des compétences de chacun. Dans cette ancienne France qui rayonnait partout dans le monde, ces libertés locales étaient prises en exemple. La France grouillait de libertés, elles étaient innombrables, actives, variées, parfois confuses. La royauté était marquée par les valeurs chrétiennes, ces mêmes valeurs qui ont bâti et forgé la France et que l’on veut à tout prix nous les faire renier. La royauté était fondée sur la justice, la paix et les vraies libertés, et c’est ce qui a rendu la France tellement florissante. Alors que la liberté maçonnique contient le concept de l’uniformité, tout devient lisse, sans relief, et les hommes se retrouvent enfermés, prisonniers d’une liberté qui les étouffe. La liberté révolutionnaire est une abstraction des vraies libertés, c’est-à-dire de la liberté individuelle, de la liberté d’association, de la liberté de l’enseignement, de la vraie liberté religieuse, des libertés corporatives, universitaires… La République démocratique maçonnique a simplement réduit toutes ces libertés.

 

Les votes étaient plus nombreux

Clovis (466-511), premier roi chrétien de France.

Sous la royauté, le peuple était amené à voter plus souvent sous l’ancien régime qu’aujourd’hui. En effet, les votes étaient souvent organisés localement et avaient du poids, c’est à dire que l’on tenait compte de l’avis du peuple. Les sujets étaient souvent appelés à donner leur avis, et cela, encore une fois, les livres d’histoire n’en parlent pas. Au contraire, ils décrivent un peuple soumis, qui n’a pas le droit à la parole, ce qui est faux.

Des votes étaient organisés dans les communes, dans les corps de métiers, et les Français s’exprimaient dans les cahiers de doléances. Les voix étaient portées par les parlements provinciaux. Et contrairement à ce que l’on veut nous faire croire, les femmes votaient déjà au Moyen Âge ! Hé oui, chers lecteurs, sachez que le Royaume de France avait introduit un droit de vote pour les femmes, certes restreint, mais il avait le mérite d’exister. Ce droit de vote concernait les élections consulaires, c’est-à-dire des gouvernements urbains, et avait été instauré au XIIe siècle selon les régions. Les femmes avaient donc leur mot à dire, et cela jusqu’en 1789, où ces dispositions furent définitivement abolies. Alors qui a muselé les femmes ? C’est bien la Révolution française qui a fait taire les femmes ? Cette même révolution qui réclamait plus de liberté a enlevé une des libertés fondamentales des femmes ! Et la République maçonnique a exclu les femmes du vote jusqu’en 1945 !

Les votes étaient souvent organisés au niveau local. Les femmes y participaient. Ces votes avaient beaucoup plus de puissance et d’efficacité, car le sujet du vote était proche des Français. Un vote sain, car les gens connaissaient le sujet du vote, s’y intéressaient et y participaient massivement. Ils donnaient donc un avis éclairé sur la question.

Lorsque le Roi réunissait les États généraux pour lever un nouvel impôt par exemple, il rassemblait les trois ordres, noblesses, clergé et tiers état. Ces trois ordres élisaient localement leurs représentants. Ainsi, le peuple était très bien représenté, et pouvait faire valoir sa voix.

De plus, plusieurs provinces, appelées pays d’états, possédaient un parlement autonome qui administrait la province et gérait son budget. Ce parlement local était élu par la population locale, et travaillait donc au bien-être du peuple, pour le peuple. Chaque grande ville élisait ses dirigeants qui étaient appelés « échevins ».

La France comportait donc de nombreux États indépendants rattachés à la couronne qui se géraient et dont les pouvoirs étaient vastes. Ils pouvaient même soulever de nouveaux impôts, ou construire un nouveau bâtiment, sans nécessairement obtenir l’aval du Roi. À la veille de la Révolution, ce système fonctionnait partiellement en Bourgogne, en Provence, en Flandre et dans plusieurs pays des Pyrénées, et totalement en Languedoc et en Bretagne. Quant à la situation des terres alsaciennes et mosellanes, elle était assez originale. Nous n’allons pas entrer dans les détails, mais le régime particulier dont bénéficie l’Alsace et la Moselle est issu de cette ancienne France. C’est le seul régime qui a survécu à la Révolution.

Chaque corporation ou métier élisait ses représentants salariés et patronaux. Et même les évêques et les abbés étaient élus par les membres du clergé.

 

La puissance royale

Le roi saint Louis.

On nous a toujours décrit le monarque comme un homme tout puissant, aux désirs mégalomanes, qui avait le droit de vie ou de mort sur tous ses sujets. En réalité, le Roi n’était pas tout puissant, il avait même un champ d’action limité, et un grand nombre de questions d’intérêt public n’était pas de sa compétence.

Chaque Français de l’Ancien régime était inscrit dans un corps social qui protégeait ses libertés particulières, et le roi que l’on décrit comme « absolu » ne pouvait empiéter sur ces libertés. Le Roi n’avait pas le pouvoir de modifier ni de supprimer les traditions locales, les droits des Français, leurs coutumes, leurs libertés et leurs privilèges de corps constitués. Par conséquent, le Roi ne pouvait faire tout et n’importe quoi et respectait les privilèges des villes et communautés de son royaume qui pouvaient lever un impôt, le réduire, l’abolir, qui pouvaient nommer librement ses autorités, qui faisaient sa justice, qui géraient leur budget sans avoir de compte à rendre au Roi.

Les paroisses rurales élisaient des syndics, mais ces derniers ne pouvaient rien faire sans l’assentiment de l’assemblée générale des habitants qui se réunissait le dimanche après la messe pour choisir les collecteurs des tailles, délibérer des corvées, des chemins et des impôts et écouter les nouveaux édits.

Mais ce sont les tribunaux qui limitaient le plus le pouvoir du Roi, ces tribunaux constitués en Parlements, en Cours des Comptes, en Cours des Aides, en greniers à sel… dont les membres étaient propriétaires de leurs charges comme le sont aujourd’hui les notaires et les avoués. Ces Tribunaux avaient le pouvoir de ne pas appliquer les nouveaux édits, donc de s’opposer au Roi. Et, grâce aux cahiers de doléances, chaque année, on faisait remonter au Roi des remontrances pour lui demander de révoquer ses édits. Quel gouvernement aujourd’hui supporterait l’idée de « remontrances » ?

Toutes ces limitations du pouvoir du Roi, la République les a fait tomber, parfois par des subterfuges, parfois plus clairement, mais en définitive, le peuple n’a plus son mot à dire, sauf les rares fois où il est appelé aux urnes. Et encore, car même si parfois on lui demande son avis, on ne le respecte pas. De nos jours, la République est plus directive que l’Ancien Régime, et la plus libérale des démocraties actuelles est bien plus absolue que la monarchie dite « absolue ». En effet, l’autorité étatique impose sa volonté et ne rencontre plus aucune opposition. La France d’aujourd’hui est sans résistance et sans force face à ses ministres et sa bureaucratie.

Non, chers amis, le Roi n’était pas tout puissant, même si les livres d’histoire continuent de décrire la monarchie comme « absolue ». L’enseignement républicain dénigre la monarchie et délivre des contre-vérités insupportables. On nous manipule par le mensonge. Mais attention, cela ne peut durer, car la vérité finira toujours par jaillir. Et elle commence à faire surface, petit à petit. Vous pourrez la rejeter autant que vous voulez, elle jour elle s’imposera.

Non, le Roi n’était pas un tyran. Et cette vérité historique devrait être rétablie. Comment peut-on aimer la France, si les Français eux-mêmes rejettent leur histoire ou ont honte de leur histoire ? Comment intégrer des étrangers si l’histoire de France est ainsi dénigrée et si les Français ont honte de leur histoire ?

Aujourd’hui, le président de la République a plus de pouvoir qu’un monarque dit « absolu » comme est décrit Louis XIV. Et cette vérité doit être dite.

Le Roi avait construit des routes, des canaux, des ports, ouvert des écoles, créer des hôpitaux, protéger les Universités et les Académies, tout cela pour protéger le bien commun. Le Roi agissait pour le bien commun. Le Roi était considéré par les Français, presque adulé.

 

Quelques citations de Roi

« Il importe de sauver le bien commun pour lequel le roi est né » (Louis XIV).

« Nous devons considérer le bien de nos sujets, bien plus que le nôtre propre. Ce n’est que pour leurs propres avantages que nous devons leur donner des lois ; et ce pouvoir que nous avons sur eux ne nous doit servir qu’à travailler plus efficacement à leur bonheur » (Louis XIV, Instructions ou mémoires rédigés pour l’instruction du Dauphin).

« Je ne vois donc pas mon fils par quelle raison des rois de France, rois héréditaires et qui peuvent se vanter qu’il n’y a aujourd’hui dans le monde, sans exception, ni meilleure maison que la leur, ni monarchie aussi ancienne, ni puissance plus grande, ni autorité plus absolue, seraient inférieurs à ces princes électifs » (Louis XIV, Instructions ou Mémoires rédigés pour la formation du Dauphin).

On comprend que le Roi agissait pour le peuple, et le bien commun. Il agissait pour Dieu. Et c’est cela que la Révolution française a voulu détruire. La Révolution française a voulu détruire tout ce qu’avaient bâti les traditions chrétiennes. La République veut effacer les racines chrétiennes de la France.

Le Roi appartient à son peuple. Le Roi incorpore son pays, et le fait prospérer. Il n’a pas une carrière à construire, mais un pays à faire grandir, et comme un père, il va choisir le bien pour son foyer. Un Roi ne peut vouloir le mal pour son royaume, et ne peut agir contrairement au bien de son pays.

 

Les principes bibliques de la monarchie traditionnelle

« Sans moi vous ne pouvez rien faire » Jean 15:5.

Cette Parole est très importante, car oui, tout ce qui se construit sans le Christ est amené à se détruire. Comme la République maçonnique est vouée à disparaître… Ce n’est qu’une question de temps. Rien de décadent ne peut subsister. C’est d’ailleurs comme cela que l’Empire romain a été détruit, par la décadence de ses mœurs.

Tant que les Français ne comprennent pas cela, alors notre société continuera à sombrer dans la décadence, jusqu’à atteindre un point de non-retour. Ce qu’il faut faire ? Remettre Dieu à sa place dans nos vies. Seul Dieu peut nous venir en aide. Dieu est notre avenir. Il faut remettre Jésus au centre de nos vies.

La France, petit à petit, disparaît dans ce magma mondialiste et maçonnique, et va totalement disparaître si l’on n’y fait rien. Ce que nous devons faire, c’est rappeler les enseignements de la Bible relatifs au pouvoir politique temporel.

 

Quels sont ces enseignements ?

Le Livre de Samuel indique comment un roi doit se comporter, un roi oint par le Seigneur. Un roi doit protéger son peuple, le délivrer de ses ennemis, assister son peuple. Le Roi doit obéir à Dieu et suivre les Commandements de Dieu afin de gouverner et de guider son peuple.

La royauté est donc un droit divin. Même si l’on ne veut plus de la royauté, il est important de choisir un président non maçonnique, et qui travaillera pour la France et non pour son orgueil. 

Le prophète Jérémie recommande aux rois la modestie et l’humilité devant Dieu. Le Roi ne doit pas se figurer que son royaume lui vient de ses ancêtres, mais il doit savoir qu’il lui vient de Dieu.

Le Roi est celui qui exerce le pouvoir suprême, la souveraineté. Il est béni par l’onction du sacre, et doit servir son peuple et Dieu. Le Roi règne par la grâce de Dieu, et par sa permission. Le président devra donc servir son peuple et agir en fonction des enseignements de Dieu. 

« Car il faut qu’il règne jusqu’à ce qu’il ait placé tous ses ennemis sous ses pieds » (1 Corinthiens 15:25).

Le Christ doit régner. S’Il ne règne pas, alors c’est la décadence, la déchéance, et l’esclavage sous toutes les formes. C’est pour cela qu’il est très important de remettre Dieu au centre de nos vies, car lorsque le Christ ne règne pas, c’est le Malin qui règne à sa place.

« Tes portes seront toujours ouvertes, ni le jour ni la nuit on ne les fermera, pour qu’on apporte chez toi les richesses des nations et qu’on introduise leurs rois. Car la nation et le royaume qui ne te servent pas périront, et les nations seront exterminées » Ésaïe 60:11-12.

Une nation chrétienne ne peut déchirer les pages de son histoire, rompre ainsi la chaîne de ses traditions, bannir toute pensée religieuse et son enseignement, renier Dieu, sans en subir les conséquences. Tous nos malheurs aujourd’hui viennent de nos péchés et nos reniements, de notre apostasie publique de Jésus-Christ. Tous ceux qui ne le servent pas périront. Les nations qui ne le servent pas seront anéanties.

« Si ses fils abandonnent ma loi, ne marchent pas selon mes jugements, s’ils profanent mes préceptes et ne gardent pas mes commandements, je visiterai avec des verges leur péché, avec des coups leur méfait, mais sans retirer de lui mon amour, sans faillir dans ma vérité. » Psaume 89:31-34.

Dieu nous avertit clairement que si nous désobéissons à ses commandements, et si nous ne marchons pas dans ses voies, alors il nous arrivera des fléaux. Car si l’on ne sert pas Dieu, alors on sert le Diable, et avec le Diable arrivent toujours des fléaux. Malgré tout, Dieu reste fidèle, et se tient prêt à notre repentance.

Aujourd’hui, les Français servent des dieux étrangers qui sont le laïcisme, le matérialisme, l’argent, l’individualisme, le culte de l’homme…

« Mais si vous m’abandonnez, si vous délaissez les lois et les commandements que je vous ai proposés, si vous allez servir d’autres dieux et leur rendez hommage, j’arracherai les israélites de ma terre que je leur avais donnée ; ce Temple que j’ai consacré à mon Nom, je le rejetterai de ma présence et j’en ferai la fable et la risée de tous les peuples. » 2 Chroniques 7:19-20

C’est parce que l’on a abandonné le Seigneur, c’est parce que l’on a pris des dieux étrangers, que la France sera livrée à ses ennemis. Nous ferons mieux de réfléchir à ce passage. Laïcisme forcené, loi de 1905 contre l’Église… à cause de tout cela, à cause de notre impiété, nous serons comme des étrangers sur notre propre terre. Nous sommes déjà la risée du monde, comme en témoignent les Allemands qui appellent la France, l’Absurdiskan. Bientôt nous serons des étrangers sur notre propre terre. Ce sera le dernier châtiment…

 

À nous croyants, d’évangéliser la France, de remettre Dieu à sa place. Le chemin est long. Nous devons nous unir pour un avenir meilleur. 

Courage, persévérance et bienveillance.

 

 

Marie d’Ange

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