La laïcité, un combat maçonnique

Cela fait maintenant plus d’un siècle que la loi de 1905 sur la laïcité est entrée en vigueur dans nos institutions et qu’elle est l’un des piliers de notre République. Pourtant, ce texte qui devait établir la laïcité au centre de notre République, qui devait nous unir dans la République, ne cesser de diviser. Explications

Cent ans de laïcité

Affiche maçonnique invitant à célébrer le centenaire de la loi sur la laïcité.

 

J’avais déjà évoqué l’imposture de la loi de 1905, une manipulation maçonnique, dans deux articles de ce blog :

– La laïcité, la grande arnaque maçonnique,

– Une laïcité à la française.

Je vous invite à les lire ou les relire, afin de bien saisir l’enjeu de cette gigantesque farce démoniaque.

Continuons à expliquer pourquoi cette loi est une arnaque qui sert à diviser le peuple. Vous avez bien compris, chers lecteurs, que cette loi de 1905, les francs-maçons l’ont d’abord pensé en loge, qu’elle est purement maçonnique et donc profondément antichrétienne. Elle contient des valeurs lucifériennes qui sont à l’opposé des vraies valeurs de la France. Cela fait maintenant plus de cent ans que nous la subissons. Cette loi est l’un des piliers de nos institutions. Rappelons qu’elle régit la séparation de l’Église et de l’État. Seulement de l’Église…

La République a le devoir d’assurer au peuple sa liberté de conscience et donc de culte. Chacun peut exercer librement son culte, tant que cela ne perturbe pas l’ordre public. La République ne reconnaît, ni ne salarie, ni ne subventionne aucun culte. Dit comme cela, on pourrait croire que c’est une bonne chose, mais dans la réalité, cela ne se passe pas ainsi.

À l’époque où la loi du 9 décembre 1905 a été promulguée en France, l’Islam n’y était pas encore présent comme aujourd’hui. Nicolas Sarkozy, président de la République française de 2007 à 2012, a voulu la réviser, au motif que l’islam n’aurait pas assez de lieux de culte. Mais cette loi est difficilement modifiable, à moins de toucher à la Constitution de la France.

 

 

Une loi antichrétienne

Arrêté préfectoral interdisant le port de la soutane.

Que l’on ne se leurre pas, la loi de 1905 est une loi antichrétienne, et plus précisément anti-catholique, car elle vise essentiellement l’Église catholique. Et, à l’époque, les deux camps se sont affrontés. Rappelons quelques faits historiques :

La gauche a toujours revendiqué la paternité de cette loi, et à juste titre. Serge Abad Gallardo, un ex-maçon converti, auteur de plusieurs ouvrages dénonçant la franc-maçonnerie, fait clairement remarquer que la plupart des hommes politiques de gauche sont francs-maçons. Ils sont plus rares à droite. Cette loi sur la laïcité a soulevé de vifs débats, de violents affrontements, rhétoriques et physiques, entre les politiciens de gauche et les autres qui ne voulaient pas voir disparaître les racines chrétiennes qui ont construit la France. Car toute la question se trouve là : ces francs-maçons voulaient, et veulent toujours et travaillent toujours dans ce sens, à gommer les racines chrétiennes de la France. Les exemples sont nombreux.

Ceux qui sont pour la loi de 1905 se revendiquent de la Révolution, les autres chrétiens. Il y a donc les partisans (essentiellement francs-maçons) qui rêvent d’organiser l’humanité sans roi et sans Dieu (c’était le cas de Jules Ferry par exemple), et ceux qui refusent de renier Dieu, comme, plus tard, Charles de Gaulle qui affirmait que : « l’histoire de France commence avec Clovis, choisi comme roi de France par la tribu des Francs qui donnèrent leur nom à la France. L’élément décisif pour moi, c’est que Clovis fut le premier roi à être baptisé chrétien. Mon pays est un pays chrétien et je commence à compter l’histoire de France à partir de l’accession d’un roi chrétien qui porte le nom des Francs. » Pourtant, beaucoup de gauchistes font référence à Charles de Gaulle et se disent gaullistes. La bonne blague !

Une chose est sûre : on ne peut nier que le catholicisme a construit la France. Jadis, on appelait la France la « fille aînée de l’Église ». L’histoire de la France est liée à celle de l’Église. L’Église a modelé une tradition, a fait rayonner la France partout dans le monde, elle a imposé des valeurs humaines sur la base des paroles de Jésus. Pour le comprendre, il faudrait se plonger dans l’histoire de France pour ne plus la voir comme elle nous est montrée à travers un prisme maçonnique qui cherche à tout prix à éteindre les valeurs chrétiennes et humaines qui ont façonné la France et nos mentalités, du moins, pour ceux qui sont éveillés.

Ce sont les fondateurs de la IIIe République qui ont entamé la destruction de tout cela, et donc, qui ont amorcé la chute de la France qui ne cesse de décliner. Avant, la France rayonnait, la France était le pays de la littérature, des grandes découvertes, des grands penseurs… Aujourd’hui, elle n’est plus que l’ombre d’elle-même, rabaissée, incapable de se redresser. Sous couvert de progrès, les pères de la IIIe République (Gambetta, Jules Ferry…) ont professé pour une foi laïque. Leur argument principal : l’Église est rétrograde, obscurantiste, fondée sur l’ignorance et la superstition, et il est temps de s’en séparer. En réfléchissant ainsi, ils ont fait, au contraire, entrer l’ignorance, la superstition et l’obscurantisme. Il est beau le progrès ! Si être progressiste c’est se balader dans les rues en étant tenu en laisse et en se revendiquant LGBTQ+, le tout devant des enfants, je ne veux pas être progressiste ! Si être progressiste, c’est tuer des bébés dans le ventre de leur mère et nous faire croire que ce n’est pas un meurtre, je ne veux pas être progressiste !

Après la Révolution, la France a connu un regain pour la foi. Les gens, perdus, ont trouvé du réconfort auprès de Dieu. Ce qui est normal. Au début du XIXe siècle, on comptait de nombreux prêtres et religieuses en France : 56 000 prêtres, 120 000 religieux et religieuses. Il y avait aussi 13 000 écoles, 124 collèges et 2 Universités catholiques. Et c’est là que les progressistes frappèrent : Jules Ferry, avec la loi de 1882, rend l’école primaire obligatoire et laïque, ce qui signifie que c’est toute la jeunesse qui est arrachée à Dieu. Et les parents n’ont plus qu’à s’y plier.

Attention toutefois, car je vois déjà venir les critiques : bien sûr que l’instruction est une bonne chose, mais l’école, j’en doute… du moins, pas comme elle est instituée et administrée aujourd’hui. L’école laïque et républicaine est gangrénée par le gauchisme. L’école doit instruire, non pas formater nos jeunes, en faire de futurs moutons, les tirer par le bas sous prétexte de l’égalité. Il est primordial d’instruire nos jeunes, de leur donner les outils nécessaires pour construire une réflexion saine et éclairée. Ce n’est pas ce que fait l’école aujourd’hui. Et aussi, de leur faire connaître l’histoire de France sans culpabiliser les Français pour son Histoire.

La loi de 1886 va pousser encore plus loin cette déchéance en rendant la laïcisation du personnel des écoles publiques obligatoire. Ainsi, on ne pourra plus parler de Dieu à l’école, on va devoir l’effacer, le renier. Et on le sait, lorsque Dieu est absent, c’est le Diable qui prend sa place.

Cette offensive anticléricale s’est poursuivie avec l’adoption de la loi de 1901 régissant les associations, mise en place par Pierre Waldeck-Rousseau (alors président du Conseil et ministre de l’Intérieur et des Cultes). Le but caché de cette loi était la destruction des congrégations, qui deviendraient alors des associations. Aujourd’hui, la France regorge d’associations, et toutes ces associations ont un certain poids et font plus de mal à la France qu’autre chose. Donc, encore une idée démoniaque, et l’on voit l’étendue des dégâts partout, dans tous les domaines de notre vie quotidienne. Cette loi de 1901 a permis la confiscation des biens de l’Église et la fermeture de 10 000 écoles congréganistes. Ainsi, ne pouvant ni prêcher, ni se réunir, ni enseigner, de nombreux religieux quittèrent la France. Après moult discussions parfois très houleuses, les relations diplomatiques avec le Vatican sont rompues en mai 1904. Et voilà comment l’on a chassé Dieu de la France. Voilà comment on a fait entrer le Diable en France. Voilà comment s’est amorcé le déclin de la France. Le tout bien sûr, aux yeux du peuple que l’on a manipulé et endormi par de belles paroles. Car oui, la confiscation des biens de l’Église a soulevé de nombreuses contestations, mais encore une fois, on a fait croire au peuple que c’était pour son bien.

 

 

La saine laïcité

Il existe une saine et légitime laïcité, celle définie par Pie XII, qui s’applique à l’État et qui permet de justifier son autonomie temporelle par rapport au spirituel. Cette laïcité est issue de la parole de Jésus : « Rendre à César ce qui appartient à César et à Dieu, ce qui appartient à Dieu ». Jésus avait donc établi cette laïcité saine, une laïcité sans heurts, sans affrontements, une laïcité libre et juste. Transposée à la politique, cela revient à dire que César ne fonde, ni ne décrète, ni ne transforme la Loi morale, mais qu’il la reçoit, et s’en inspire pour la Loi civile, afin de construire un État plus juste et égalitaire. Les valeurs chrétiennes doivent rester les gardiennes de la morale. Il doit donc y avoir une « saine collaboration » entre le politique et le moral. Cela n’est possible qu’avec la chrétienté, car la chrétienté rend possible ce fait, alors que les autres religions régissent et le politique et la morale.

Prenons un exemple de cette laïcité saine : plaçons un aumônier dans chaque établissement public. Son rôle sera de s’occuper des âmes, à aucun moment il décidera du menu des cantines, du nombre d’agents nécessaires pour faire fonctionner l’établissement… Voilà la bonne façon de mettre en place la laïcité.

Or, aujourd’hui, la République (qui représente César) veut s’immiscer dans l’ordre spirituel. C’est cela qui est nouveau, c’est cela qui est la ruse maçonnique, car sous couvert de laïcité et de démocratie, on veut aussi chasser Dieu de nos vies, et donc, le remplacer par le Diable.

La vraie ruse est que la République, comme elle nous est présentée, se sert du concept chrétien de la laïcité comme une arme contre les chrétiens. Elle se sert de la laïcité chrétienne pour imposer sa religion d’État. Et quelle est cette religion d’État ? C’est le culte de l’homme qui cultive l’égocentrisme qui mène à la destruction des valeurs humaines. Cette religion d’État prétend séparer le temporel et le spirituel, mais en réalité elle les confond. Elle fait passer l’État pour Dieu et nous enferme donc, dans une véritable théocratie : l’État devient tout puissant, totalitaire. Comme disait Clemenceau : « il faut rendre à César ce qui est à César et tout est à César. »

Ainsi, la saine laïcité, celle qui « rend à Dieu ce qui est à Dieu » a disparu. La laïcité de l’État ne donne plus la place à des débats avec le spirituel.

 

 

L’illogique laïcité

La laïcité, à force de se contredire, devient insoluble dans son raisonnement. On parle d’aporie laïciste. En effet, cette laïcité républicaine (qui est une spécialité française) prétend séparer le temporel du spirituel, ce qui est impossible. Ce laïcisme oblige à une logique politique où tout est permis. On parle alors de laïcité ouverte. Tout devient illogique, tout est contraire et en même temps semblable. Ce laïcisme balance entre deux extrêmes idéologiques : dissoudre ou coaguler. Lorsque tout se vaut, rien ne vaut… que l’impiété et l’irréligion qu’on tente d’imposer contre le cheminement naturel des choses, soit par autoritarisme (rien) soit par laxisme (tout). Ces deux attitudes, que l’on voit se mettre en place partout, qui a lieu partout au sein du gouvernent, procèdent du même culte de l’homme qui fait primer le mythe libertaire ou égalitaire sur la vérité. C’est ainsi que l’on s’offusque dès que l’on voit un crucifix dans un établissement public et qu’on laisse les prières de rue se faire et bloquer toute une rue. Le deux poids, deux mesures.

On voit apparaître une laïcité qui s’oppose et qui navigue entre une laïcité neutre (impossible) et une fausse laïcité (liberté religieuse). C’est le débat impossible entre les totalitaires du laïcisme de stricte observance et les libéraux de la laïcité ouverte, entre intolérants de la tolérance et les tolérants de l’intolérance. Voyez comme tout ceci ne peut exister ensemble !

De la même manière, le laïcisme d’État peut osciller entre multiculturalismes (mise sur le même pied d’égalité des communautés différentes et laisser le communautarisme s’installer dans tous les quartiers des villes de France) et le jacobisme (ignorer la plupart des communautés essentielles, celles présentes depuis longtemps, les majoritaires, celles qui forment le tout et qui communiquent avec l’État, qui vivent dans l’État).

Avant, on nous avait imposé une laïcité négative, où il n’était pas bien vu de montrer son appartenance religieuse, puis on est passé à une laïcité silencieuse où l’on nous a demandé de ne pas parler de sa religion, de se faire discret afin de respecter la liberté des consciences. Aujourd’hui, on nous propose (ou nous inflige) la laïcité ouverte par débat. Attention, car ce débat est avant tout un dialogue maçonnique, c’est une fausse discussion tronquée par l’idéologie luciférienne. Et que nous propose ce dialogue maçonnique ? Il nous présente une société où chacun est respecté et doit respecter l’autre dans ses convictions, dans sa religion, dans ses croyances. Fais ce que tu veux, mais ne le fais pas aux yeux de ton voisin. Et là c’est la débâcle assurée, puisque chacun est libre de faire ce qu’il lui plaît, tant qu’il ne gêne pas son voisin. Il n’y a plus de valeurs humaines, puisque chacun est libre de construire ses valeurs. Il n’y a plus de bien ni de mal, puisque chacun établit ce qui est bien et ce qui est mal. Dans l’extrême, par exemple, si cela ne gêne pas mon voisin, je peux très bien égorger des bêtes chez moi pour honorer mon dieu. Les traditions seront vouées à disparaître, puisque chacun façonnera ses propres coutumes. Les familles ne se réuniront plus, les gens s’éloigneront les uns des autres.

Quant aux religions, puisque l’État ne reconnaît aucun culte et n’a aucune préférence pour un culte, mais qu’il exige que tous les cultes se reconnaissent sous l’autorité de l’État, faisant croire à une pseudo-liberté religieuse. L’État donc, sous couvert de cette laïcité, oblige l’Église à lui obéir. Cette dernière ne peut plus s’opposer aux autres religions, ne peut plus s’imposer et est contrainte de s’écraser et d’accepter son sort. Or, le message biblique est clair : les chrétiens doivent répandre la Bonne Nouvelle, non rester dans leur coin. Le devoir des chrétiens est de sauver les païens, mais on a enlevé cette mission à la chrétienté.

Et contre toute attente, l’Église consent à cette laïcité ! Il faut dire qu’elle n’a plus trop les moyens de se défendre, car elle est gangrénée de l’intérieur par des satanistes. Et c’est ainsi que l’Église se terre, que les évêques n’hésitent pas à dire aux disciples de ne pas se mettre en contradiction avec les grands principes de la République. Comment l’Église a-t-elle pu se laisser faire ? Comment a-t-elle pu accepter tout cela ? De la même manière qu’elle a décidé de retirer du baptême tout le côté exorcisme, qu’elle a décidé de ne quasiment plus réaliser d’exorcisme et de ne plus former de prêtre-exorciste. Donc, de la même manière qu’elle a décidé de ne plus combattre le Malin.

L’Église est alors réduite à une vulgaire association soumise à l’État.

L’Église, et donc le pape, les évêques…, a oublié que sa mission est divine, que sa mission est d’annoncer l’Évangile à toutes les nations. L’Église s’est recroquevillée sur elle-même et repousse même les croyants avec des messes étriquées, avec des protocoles interminables. L’Église n’a pas su s’ouvrir au monde, elle est restée en retrait et attend, certainement, sa destruction. Et ainsi, elle est incapable de répondre aux attaques qu’elle subit, elle se mûre dans le silence.

 

 

La manipulation de la laïcité à la française

Sur papier, le laïcisme se montre aujourd’hui sous l’apparence de quelque chose de bien, comme un art de mieux ensemble (le vivrensemblisme tant vanté par les progressistes), dans le respect de chacun et de chaque religion, où personne ne fait à autrui ce qu’il ne voudrait pas qu’on lui fasse, mais où chacun fait ce qu’il lui plaît, dans le respect de l’autre. Dit comme ça, ça paraît idyllique. Mais derrière tout cela, se cache une vérité diabolique, car le Malin guette, le Malin s’immisce toujours dans les affaires des hommes pour mieux nous tromper. Le Malin sait se déguiser en ange de lumière pour mieux nous manipuler. Ainsi, il suggère des pensées bonnes, attire ses victimes dans ses griffes, et les entraîne petit à petit dans la perdition. Seul celui qui possède du discernement peut voir ses malversations. Malheureusement, peu, aujourd’hui, sont capables d’avoir du discernement. Et si l’on gratte un peu le vernis de cette laïcité, on s’aperçoit que tout n’est pas aussi rose qu’on veut bien nous le faire croire : cette laïcité de fait est inséparable d’une laïcité de droit occulte, qui la précède et l’inspire, et qui se vit contre une contre-religion d’État, à laquelle les autres religions doivent sacrifier en renonçant à leurs principes. C’est machiavélique comme plan. Ainsi, cette laïcité a enlevé la mission de l’Église, l’a rendue impossible.

 

 

Un pacte avec le diable

Le pacte laïque est clairement un pacte d’aliénation avec le diable.

Ce pacte, auquel doivent se rallier les religions, agit comme une véritable aliénation. En effet, les religions sont obligées de passer de l’état sacré à l’état séculier. Et le pire, c’est qu’elles acceptent cela ! Ainsi, toute la nature divine des religions disparaît et toutes les religions se confondent dans un grand tout laïc. C’est le mythe moderne du faux œcuménisme. Les religions perdent ainsi leurs spécificités et leur caractère divin.

La nouvelle religion d’État, la laïcité, se substitue ainsi à la religion chrétienne, et exige d’être considérée comme la seule et vraie religion qui tolère les autres dans la mesure qu’elles ne menacent pas sa vérité. Son fameux droit à la liberté religieuse n’est par exemple que le déguisement idéologique d’une tolérance concédée (dans des limites bien précises) par cette (contre) religion d’État, qui singe humainement le christianisme (grand praticien de la tolérance dont il a inventé la théorie, tout comme la distinction des pouvoirs).

Avant, c’était l’homme qui était à la grâce de Dieu. Aujourd’hui, c’est Dieu qui est soumis à la décision de l’homme… Et c’est pour cela que tout va mal ! L’homme pense pouvoir dominer Dieu ! Quelle hérésie ! L’Église devrait dénoncer tout cela, car elle est en train d’entraîner dans sa folie les âmes de ses ouailles. Réagissez chrétiens !

Au lieu de rejeter cette tentation de la laïcité ouverte, les évêques s’y sont engouffrés toujours un peu plus chaque jour, jusqu’à proposer des mouvements dans l’Église de plus en plus ouverts, tellement ouverts qu’elle a fini par disparaître. Et donc tout ce que la Bible interdit, et que l’Église doit refuser (avortement, mariage homosexuel, GPA…) elle le concède par son silence assourdissant.

Attention, car je vois déjà certains d’entre vous pousser des cris d’orfraie et venir me dire que je suis homophobe. Non chers amis, je ne le suis pas, bien au contraire. Par contre, j’ai beaucoup de mal avec ce qui est contre nature, avec ceux qui veulent défier la nature. De la même manière, je suis contre l’avortement de complaisance et la GPA, car cela va dégénérer et le ventre de la femme et l’enfant vont devenir des produits commerciaux, comme cela se passe déjà dans certains pays. On ne peut marchander la vie !

Et comme pour me donner raison, une nouvelle loi vient d’être votée permettant l’avortement jusqu’à 9 mois de l’enfant à naître si la détresse psychologique de la mère le demande. En gros, il est maintenant légal de tuer les bébés ! Comment peut-on faire une chose pareille ? Comment une femme peut-elle accoucher de son enfant qu’elle a porté pendant plusieurs mois et demander son meurtre ? Nous vivons dans un monde dominé par Satan et il est temps de se réveiller.

Ce que l’on doit retenir de tout cet article est que la prétendue laïcité fomentée en loges et que l’on nous impose au quotidien n’est qu’un vaste mensonge qui cache une haine de la foi au Christ, une haine du Christ. Cette laïcité sert à déchristianiser la France, et cela fait maintenant trop longtemps que ça dure ! Il est temps de réagir ! La France, fille aînée de l’Église, n’est que l’ombre d’elle-même. Elle a perdu son rayonnement, son bon sens, son discernement, à force de politiciens francs-maçons véreux qui l’ont et la gouvernent encore aujourd’hui. La France a renié ses racines chrétiennes, n’est plus chrétienne, elle est devenue, dans ses institutions, ses mœurs, un pays païen, athée, voire démoniaque.

 

 

Que faire ?

Ne plus avoir peur d’afficher sa foi ! Osez dire que vous croyez en Jésus-Christ, osez annoncer la Bonne Nouvelle, osez dénoncer ce qui ne va pas ! Et surtout, unissons-nous dans ce combat et osons, ensemble, entrer dans le combat spirituel. Car c’est bien de cela qu’il s’agit. Notre ennemi commun est le Diable. Revêtons notre armure céleste, et tenons-nous à côté du Christ.

Dieu ne doit pas se cantonner à la sphère privée. Dieu nous donne nos valeurs humaines, ces valeurs profondément chrétiennes qui nous permettent de réellement vivre ensemble, de nous entraider, de construire un monde meilleur. Osons remettre le Christ au centre de nos vies, osons faire connaître le Christ à ceux qui sont perdus.

Les laïcards brandiront la loi de 1905 et vous diront que vous n’avez PAS LE DROIT de manifester votre appartenance à une religion au nom de la liberté de religion voire de la liberté tout court. Voyez comme cet argument est fallacieux : au nom de la liberté, on vous enlève votre liberté de vous exprimer. Ce « PAS LE DROIT » est une négation de votre droit, une soustraction de votre droit. Cela, il faut le savoir. Nous devons nous servir de leurs arguments à notre avantage et les retourner contre ces antichrists qui veulent nous faire renier le Christ.

Cette laïcité que l’on nous impose continuellement n’est pas positive, elle est négative, car elle bride notre liberté. Ce n’est pas la laïcité chrétienne qui elle, est positive et constitue une saine collaboration entre le politique, la sphère publique et la sphère privée. Cette loi de 1905, la manière dont elle est interprétée, est une perversion de la vraie laïcité : elle a placé l’État au-dessus du droit et de la liberté de chacun à vivre et à manifester sa religion. Il s’agit là d’une atteinte au vrai droit de l’homme. Il s’agit là d’une véritable tyrannie, une tyrannie religieuse de droit occulte et maçonnique qui interdit à la vérité le droit de se manifester !

N’oublions pas que la laïcité est une valeur chrétienne : « Rendez à César ce qui appartient à César et à Dieu ce qui appartient à Dieu ». Cette valeur est une saine laïcité, car elle fait la distinction des pouvoirs temporel et spirituel, tout en collaborant entre les deux pouvoirs. C’est une valeur chrétienne qui a été pervertie par la maçonnerie.

Si la République est laïque, comme on veut nous le faire entendre, la France, elle, est chrétienne. Et malgré la dictature mise en place depuis de nombreuses années, malgré le bourrage de crâne effectué contre la religion chrétienne, on ne peut nier que les Français sont encore majoritairement chrétiens, ou qu’ils ont, majoritairement, reçu une éducation chrétienne.

Si nous nous unissons, nous pouvons chasser du gouvernement les francs-maçons. Il serait bon, aujourd’hui, de s’éveiller et de travailler ensemble pour une France unie, une France rayonnante. Il serait bon d’abroger la loi de 1905 mise en place par le Grand Orient et de la remplacer par une loi de séparation de la franc-maçonnerie et de l’État. Vous verrez, alors, comme tout rentrera dans l’ordre. La France redeviendra ce qu’elle était avant, un pays où il fait bon vivre, un pays où l’on s’occupe de ses aînés, où la justice fait son travail, où l’on aide celui qui se trouve dans le besoin, où celui qui travaille est récompensé…

 

 

Cet article est le dernier de la série consacré à la laïcité. Il n’en fallait pas moins de trois articles pour vous expliquer quelle arnaque est cette laïcité que l’on nous impose depuis trop longtemps maintenant. Il fallait déjà comprendre que tout part de la Révolution et que cet évènement a été fomenté en loges pour mettre en place cette grande arnaque. Il est temps de se réveiller, il est de s’unir, il est temps de bouter hors du gouvernement tous les francs-maçons.

 

 

Sources : Valeurs Actuelles n° 3556, article paru le 21 janvier 2005

 

 

Marie d’Ange

 

Pour aller plus loin

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1 commentaire sur “La laïcité, un combat maçonnique

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