Gemma Galgani

La vie est faite de frustrations en tout genre et celle de Gemma Galgani n’y fait pas exception. Surmenée, malade, tiraillée et frappée par le Diable, Gemma Galgani n’a jamais failli devant les épreuves et a toujours continué à accomplir les buts qu’elle s’était fixés. Pourquoi je vous raconte l’histoire de Gemma Galgani ? Parce que nous aussi nous avons des buts, nous aussi nous connaissons l’échec, la frustration, les peines… et nous aussi, à l’image de cette sainte, surnommée le diamant de la « Fleur des saints » ou encore le top model de la « Fleur des saints », nous ne devons pas faillir devant l’adversité et continuer à suivre nos buts tout en étant bons, humbles et charitables.

 

 

La naissance de Gemma

Photographie de 1902 de Gemma Galgani.

Gemma Galgani est née le 12 mars 1878 à Borgo Nuovo di Camigliani, régions de Lucques en Toscane, Italie. Elle est le quatrième enfant d’une famille de 8 enfants et la première fille. En italien, Gemma signifie joyeux. Son père était un chimiste prospère et un descendant du Bienheureux John Leonardi (1541-1609, pharmacien italien devenu prêtre et fondateur de l’ordre des Clercs réguliers de la Mère de Dieu, canonisé en 1938). La descendance de la mère de Gemma était aussi noble.

De famille très pieuse, catholique traditionnelle, elle reçoit le sacrement de la confirmation le 26 mai 1885, à l’âge de 7 ans. Dès son plus jeune âge, Gemma est attirée par la prière, pratique lui venant de sa mère qui lui a enseigné les vérités de la foi romaine catholique. De ce fait, très tôt, Gemma a une dévotion particulière pour le Christ crucifié. Déjà à 5 ans, elle lisait avec ferveur l’office de la Vierge Marie et celui des Morts aussi rapidement et facilement qu’un adulte.

Gemma était avide de connaître la vie du Christ, tellement qu’elle harcelait sa mère de lui parler de lui.

Elle reçoit le sacrement de la confirmation à l’âge de 7 ans, le 26 mai 1885. Dans l’église, alors qu’elle priait ardemment pour la guérison de sa mère, atteinte d’une maladie incurable), elle entend très distinctement une voix lui dire « Veux-tu me donner ta maman ». La jeune sainte répond par l’affirmative à condition qu’Il la prenne elle aussi. Mais la voix n’est pas d’accord, car il ne peut y avoir de condition. Alors Gemma donne son accord pour que Dieu appelle sa mère à ses côtés.

Bien sûr, comme il fallait s’y attendre, la mère de Gemma Galgani décède peu de temps après cette manifestation divine. Le père de la jeune enfant décide de l’envoyer en demi-pension dans une école à Lucques dirigée par les sœurs de Sainte Zita, l’école des Zitines tenue par la Bienheureuse Hélène Guerra. Cette dernière sera son institutrice et lui fait méditer tous les jours un point de la Passion.

Dans cette école, Gemma sent qu’elle est là où elle devrait être, à la bonne place. Elle est bien, heureuse et elle s’épanouit. Intelligente, elle excelle en italien, en arithmétique, en musique, gagnant même, en 1883, le Prix d’or pour sa connaissance religieuse. Toutes les sœurs tarissent d’éloges à son sujet.

 

 

La première communion

Gemma attendait sa première communion avec impatience, elle s’y était préparée. Devant tant d’insistance, on permit à la jeune fille de recevoir sa première communion à l’âge de 9 ans, ce qui est plus tôt que d’habitude. Avec l’accord de son père, elle se rend dans un couvent local pour y passer 10 jours afin de se préparer à cet évènement.

Le 20 juin 1887, le jour de la Fête du Sacré Cœur de Jésus, le diamant de la « Fleur des saints » reçoit la communion. Ce jour, elle ressent la présence de Jésus à ses côtés. Après cet évènement, elle se distingue par un amour intense pour les pauvres de la ville, vidant la maison de ses parents pour eux. Et déjà à 11 ans, elle renonce à se soucier de ses vêtements et de son apparence.

À l’âge de 16 ans, Gemma tombe malade et doit quitter l’école des Zitines. Elle souffre d’une scoliose qui l’empêche de se déplacer correctement, mais aussi d’une tumeur au cerveau qui entraîne une perte temporaire de l’ouïe. De larges abcès se forment au sommet de sa tête, ses cheveux tombent et finalement, elle est paralysée des membres. C’est durant cette période qu’elle fera des expériences surnaturelles et verra pour la première fois son ange gardien qui lui demande le dépouillement de sa coquetterie afin de devenir « l’épouse du Roi crucifié ». Gemma comprend alors qu’elle doit devenir religieuse.

Les médecins, appelés à son chevet, essayent de nombreux remèdes, sans résultats. Et son cas empire de jour en jour. Gemma est épuisée, à bout de forces, mais elle continue de prier. Surtout à saint Gabriel de Notre Dame des Douleurs (Saint Gabriel de l’Addolorata). Et plus sa dévotion pour ce saint passioniste augmente, plus elle commence à le voir près d’elle, ressentir sa présence dans son esprit, dans son cœur.

En 1897, alors qu’elle est toujours très malade, son père décède ruiné. En effet, à cause de sa trop grande générosité et l’avidité de ses créditeurs, le pauvre bougre a perdu toute sa fortune, laissant ses enfants démunis, sans aucun moyen de se suffire à eux-mêmes. Gemma à peine 18 ans, mais grandit en apprenant à supporter cette croix qu’elle porte en permanence sur elle.

À l’âge de 20 ans, Gemma est toujours alitée. Elle souffre continuellement de la maladie. On lui suggère alors une neuvaine comme dernier recours à sa guérison. Le 23 février 1899, elle entend le cliquetis d’un rosaire et comprend que c’est le Vénérable Gabriel qui lui apparaît. Il s’adresse directement à la jeune femme et lui dit que si elle veut guérir, il faut qu’elle prie avec foi chaque soir le Sacré Cœur de Jésus. Il lui promet de venir chaque soir prier avec elle.

La neuvaine se termine le mercredi 1er mars 1899 et Gemma est miraculeusement guérie comme le lui avait promis saint Gabriel du Sacré Cœur de Jésus. Tout son entourage pleure de joie. Un miracle avait eu lieu !

Commence alors pour la miraculée une vie sainte et une « familiarité surnaturelle » avec les saints. Deux mois plus tard, elle tentera d’entrer chez les visitandines (Ordre de la Visitation), sans succès. Tout le reste de sa vie sera dominé par le désir d’une vie consacrée.

Le 3 mars 1899 eut lieu la guérison miraculeuse de Gemma par l’intercession de sainte Marguerite-Marie Alacoque. Saint Gabriel de l’Addolorata lui apparaît chaque soir de la neuvaine pour prier avec elle. Commence pour elle une « vie amoureuse quotidienne » avec Jésus et une « familiarité surnaturelle ».

 

 

 

Les stigmates

Gemma est maintenant totalement guérie. Elle a recouvré l’usage de ses jambes, n’a plus d’abcès et entend. Son dos s’est redressé. Elle a toujours dans la tête de se consacrée à Dieu et se faire ordonner religieuse. Mais Dieu a d’autres projets pour elle.

Le 8 juin 1899, après avoir reçu la communion, elle entendit le Seigneur lui dire que le soir même Il ferait descendre sur elle une grande grâce. Alors, la jeune femme rentre chez elle pour prier et entre en extase où elle se sent pleine de remords pour avoir péché. La Vierge Marie lui apparaît alors qui lui dit : « L’amour de mon fils Jésus pour toi est incommensurable et il souhaite te donner une grâce. Je serai une mère pour toi. Seras-tu un véritable enfant ? »

Alors, la Sainte Vierge enveloppe la jeune femme de son manteau.

Plus tard, Jésus lui apparaît avec ses blessures ouvertes d’où s’écoulaient des flammes de feu. Ces flammes sont venues toucher les mains, les pieds et le cœur de la Gemma qui a cru mourir et s’est écroulé à terre tellement la douleur était immense. Elle était toujours enveloppée dans la cape de la Vierge Marie qui l’a soutenue.

Gemma est restée plusieurs heures dans cette position. Finalement, la Vierge-Marie a baisé son front et tout s’est dissipé. La jeune femme s’est retrouvée à genoux, les mains, les pieds et le cœur toujours douloureux. Elle s’est allongée sur le lit et s’est aperçue que du sang s’écoulait des parties douloureuses.

Elle a pansé ces plaies comme elle le pouvait et avec l’aide de son ange gardien, elle s’est remise au lit.

Plusieurs personnes, dont des ecclésiastiques respectés de l’Église, ont été témoins de ce miracle des stigmates, miracle qui s’est reproduit tout au cours de la vie de Gemma.

Voici un témoignage d’un des nombreux témoins :

« Du sang coulait abondamment de ses blessures. Lorsqu’elle se tenait debout, il giclait par terre, lorsqu’elle était au lit non seulement il mouillait les draps, mais le matelas tout entier s’en trouvait saturé. J’ai mesuré quelques écoulements ou flaques de sang et ils mesuraient de 50 à 62 cm de long et à peu près 5 cm de large. »

Les stigmates se répéteront chaque semaine, du jeudi 20 h au lendemain 15 h.

Du 25 juin au 9 juillet 1899, une mission des Passionistes a lieu à Lucques. Gemma s’empresse d’aller les écouter et reconnaît l’habit de saint Gabriel. Alors, Jésus lui apparaît et lui dit : « l’un de ces fils sera ton père. »

 

 

 

Une vie de prière et son ange gardien

Les Giannini, une généreuse famille italienne, accueille Gemma à l’âge de 21 ans. Cette famille avait déjà 11 enfants, mais elle reçut avec joie cette pieuse orpheline. Gemma passa un peu moins de quatre ans chez elle. La mère de famille, Cecilia Giannini, dira plus tard n’avoir jamais connu une jeune fille aussi pieuse, aussi gentille, aussi gracieuse et qui plus est, sans aucun défaut.

Chez les Giannini, Gemma Galgani participe au ménage, à la cuisine. Elle occupe ses moments libres à la prière. Elle assiste à la messe deux fois par jour et communie une fois. Elle récite son rosaire et le soir, avec Cecilia Giannini, elle va aux vêpres.

Pendant ce temps, régulièrement, l’ange gardien de Gemma lui apparaît. Tous deux se parlent comme des amis et récitent des prières ou des psaumes. En méditant sur la Passion du Christ, son ange la guide dans ce mystère, lui parle de l’agonie du Christ. Un jour, il lui dit :

« Regarde ce que Jésus a souffert pour l’homme. Contemple ses blessures une par une. C’est l’amour qui les a toutes ouvertes. Vois combien le péché est exécrable, car pour l’expier il faut tant de douleur et tant d’amour. »

En janvier 1900, Gemma débute sa correspondance avec le père Germano qui habitait Rome à cette époque. Leur première rencontre aura lieu en septembre et c’est bien le même homme qu’elle a vu lors d’une vision. Ce dernier devient son directeur spirituel.

Le père Germano, un passioniste, théologien, remarque que la jeune femme a une vie profonde faite de prières. Il est convaincu qu’elle est un « joyau de Dieu » et que ce joyau était passé par les 9 étapes classiques de la vie intérieure. Il demande alors à sa protégée de rédiger son autobiographie.

 

 

 

La mort de Gemma Galgani

En 1902, Gemma est en bonne santé et s’offre à Jésus pour sauver les âmes. Le Christ accepte son offre. Et le diamant de la « Fleur des saints » tombe gravement malade. Elle vomit toute nourriture avalée et le 21 septembre 1902, commence à vomir du sang pur. Gemma s’alimente alors que de la communion du matin et d’un peu d’eau.

Le père Germano lui commande de prier Jésus de lui rendre la santé. Elle la recouvre alors, mais pour peu de temps, 20 jours. Puis elle retombe malade. Son rétablissement n’était qu’un signe temporaire destiné au père Germano.

Pendant ce temps, martyrisée par son corps, elle souffre aussi d’un martyr spirituel. Plus aucun saint, plus aucun ange ne lui apparaît et ne vient prier avec elle. À cela, vient s’ajouter les nombreuses attaques du diable qui frappe son corps déjà affaibli.

Puis, Gemma manifeste les premiers symptômes de la tuberculose. Elle est alors transférée dans une petite chambre d’un immeuble attenant à celui des Giannini et c’est dans cette petite chambre isolée qu’elle trouvera la mort.

Avant cela, Satan redouble son combat sur Gemma, car il sait que la fin est proche. Il s’efforce de la persuader d’abandonner Dieu. Il apparaît souvent en ange noir horrible ou en animaux féroces et la frappe sans cesse. Le démon l’épuise et ceux qui sont à côté de Gemma, ceux qui la soignent, ne peuvent rien faire que de la voir souffrir et se débattre avec le Diable. Tous pleurent pour sa souffrance.

Gemma implore sans cesse les saints, Jésus et Marie, mais personne ne vient la sauver de Satan. Mais, pendant toutes ces épreuves, elle ne s’est jamais plainte et continue de prier.

On savait que Gemma allait mourir. Elle était devenue un squelette à force de ne rien manger, mais restait belle malgré les ravages de la maladie. Voici ses dernières paroles :

« Je ne cherche rien d’autre ; j’ai tout sacrifié à Dieu ; maintenant je me prépare à mourir. »

Et lorsqu’elle comprend que sa fin était proche, elle se met à sourire. Son sourire était beau, céleste. Elle laisse alors tomber sa tête de côté et s’éteint en souriant. Une sœur, présente à cette mort, enveloppe son corps de l’habit des Passionistes, qui était l’ordre auquel Gemma rêvait d’appartenir. C’était le 11 avril 1903 et Gemma Galgani avait 25 ans.

L’Église a commencé à étudier la vie de Gemma en 1917. La jeune femme a été béatifiée en 1933. Le décret approuvant les miracles pour sa canonisation a été lu le 26 mars 1939, le dimanche de la Passion. Gemma a été canonisée le 2 mai 1940, 37 ans seulement après sa mort par le pape Pie XII.

Dante, dans un poème extrait de son manuscrit « Le Paradis » fait l’éloge de la beauté surnaturelle de Gemma. Il dit que la jeune femme est le petit joyau du Christ et que celui qui l’a créée ne peut qu’en jouir pleinement.

Sa fête liturgique est le 11 avril.

 

 

 

Que doit-on retenir de la vie de Gemma Galgani

La vie de Gemma, telle qu’elle nous a été révélée par son autobiographie, est remplie de frustrations. Elle rêvait de rejoindre les ordres, et cela lui a été refusé. Elle est clouée au lit pendant plusieurs années. Et de souffrance aussi, avec la perte de ses parents et de son frère aîné, sans parler des souffrances physiques dues à la maladie et aux assauts répétés du démon.

Tous ses désirs, ses buts et ses plans furent contrariés et perdus. Pourtant, cette jeune femme n’a jamais arrêté d’y croire, n’a jamais cessé de se battre.

Transposons cela dans nos vies actuelles. Nous aussi, nous connaissons la frustration, la souffrance morale et physique, nous aussi nous connaissons la déception, la tristesse, la douleur de la perte d’un être cher, nous aussi nous avons dû batailler pour obtenir ou pas quelque chose, nous aussi nous nous fixons des buts qui sont entravés et que nous n’atteignons pas…

En ces temps pressés, nous sommes toujours en train de courir partout, tout va vite et devons, constamment, changer nos plans et nos buts. Nous portons des projets qui semblent voués à l’échec dès le début.

Gemma a reçu la grâce. Elle a reçu des enseignements par ses visiteurs célestes et elle a su trouver de la joie dans ses frustrations. C’est cela qu’il faut faire, trouver de la joie, de l’amour où il n’y a que douleur et privation.

La vie est une série de perte, des amis partent, d’autres arrivent, décès, naissances… en fait, il suffit de trouver le bon équilibre. Tour à tour, nous perdons et nous gagnons. Il suffit d’apprendre à endurer la douleur avec un brin d’apitoiement sur soi-même.

Gemma nous laisse le message suivant, que nous comprenons lors du passage où elle laisse sa mère à Dieu : ne laissons pas nos pertes nous être simplement arrachées, mais cédons-les volontairement, et de bon cœur, avec amour au Seigneur.

Vous perdez votre père atteint de la maladie d’Alzheimer. Certes, c’est une grosse perte, c’est difficile. Mais réfléchissez : ne vaut-il pas mieux que sa souffrance s’arrête enfin ?

Ce discours est plus difficile à appréhender lorsqu’il s’agit de la perte d’un enfant.

La vie dans notre monde moderne est compliquée, notre expérience nous enseigne à ne faire confiance à personne, ni à la technologie, ni aux politiciens (surtout pas !), ni même à nos voisins ou à notre famille. Car même un membre de notre propre famille peut nous trahir. Gemma nous dit, nous encourage à reposer notre confiance sur notre Seigneur. Quand tout le reste nous fait défaut, remettons notre souffrance entre les mains du Seigneur. Ne nous plaignons pas, mais avançons et continuons à croire à des jours meilleurs. Ne cherchons pas à nous venger, la vengeance engendre le mal, mais pardonnons et tirons une leçon.

Je suis persuadée que les Saints et les Anges sont nos compagnons, des compagnons qui nous veulent du bien. Prenons le temps de les écouter, de nous écouter, d’écouter notre cœur, car c’est ainsi qu’ils nous parlent. Nous trouverons alors l’apaisement. Nous devons aussi leur parler, ils répondront à leur manière.

Dans l’histoire de l’Église, il a eu de nombreux stigmatisés, mais Gemma Galgani est la seule à avoir son Ange gardien en permanence avec elle. Cette jeune fille est un personnage unique de l’Église, un véritable diamant de la « Fleur des saints », d’une grande beauté, qui d’ailleurs a été figée dans la mort.

Regardez ses photos : Gemma était vraiment d’une grande beauté, presque irréelle, avec des traits fins. Et elle n’avait pas besoin de froufrous ou de maquillage pour être belle ! C’était une véritable beauté naturelle, un diamant.

Gemma, c’est aussi la puissance de l’humilité, la force de caractère. Car il faut du caractère pour faire face à la maladie sans se plaindre et surtout pour accepter la mort.

La vie de Gemma Galbani est un résumé de ce combat perpétuel du bien contre le mal, des anges contre les démons, des tribulations des âmes. Gemma accepte très tôt sa mission. Elle sait qu’elle va souffrir, comme Jésus a souffert sur sa croix, mais elle accepte.

Elle a eu droit à toutes sortes de maux : paralysie des jambes (le mal de Pott), tumeur au cerveau, otite purulente… Ses rêves de rejoindre la congrégation des passionistes s’envolèrent. Les médecins ne purent la guérir et décidèrent de l’abandonner.

Gemma Galgani, c’est le mystère des Mystères, la beauté qui fascine les foules, l’Amour d’une vierge pour le Christ. Gemma c’est aussi la pureté.

Gemma Galgani est incontestablement le « top model » de la Fleur des Saints !

 

 

Marie d’Ange

 

Pour aller plus loin


 

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1 commentaire sur “Gemma Galgani

  1. […] La description qu’il fait de ses stigmates ressemble beaucoup à celle faite par Gemma Galgani. […]

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