Cette pollution qui nous rend malades

 

Si je vous dis que notre environnement est de plus en plus pollué, ce n’est pas un scoop. Si je vous dis que l’air que nous respirons, que l’eau que nous buvons, que les aliments que nous mangeons sont aussi de plus en plus pollués, ce n’est toujours pas un scoop. Mais si je vous dis que bientôt, nous serons tous malades à cause de cette pollution générée par la surproduction et la surconsommation, alors peut-être que certains auront une prise de conscience et changeront leurs comportements en arrêtant de se faire manipuler par les publicitaires qui poussent à la consommation. Car, pour arrêter de scier la branche sur laquelle nous sommes assis, il faut travailler ensemble. Tour d’horizon de cette pollution qui nous rend malades.

 

 

Quelques chiffres

Le fleuve Riachuelo, le fleuve poubelle de l’Argentine.

Selon l’OMS, en 2012, 19 % des cancers sont liés à la pollution de l’environnement. Comme depuis le Covid19, l’OMS n’est plus très crédible, on peut supposer que ce pourcentage est minimisé par rapport au réel. La véritable pandémie n’est pas un virus, mais bien la pollution qui tue de milliers et des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants tous les ans.

L’INSERM a répertorié plus de 400 substances présentes dans l’air classées comme cancérogènes. Certaines substances nous rendent même infertiles. En effet, en 17 ans, la concentration en spermatozoïdes des Français a baissé de 32 %. Je n’ose imaginer ce chiffre dans une ville comme Séoul, Mexico, Pékin ou New York. Bientôt, l’homme ne pourra plus se reproduire et la race humaine s’éteindra. Je pense que les animaux feront la fête lorsque cela arrivera, mais bon…

Les particules fines présentes dans l’air causent chaque année plus de 42 000 décès prématurés. La France dénombre plus de 3,5 millions d’asthmatiques.

La France est le premier pays européen utilisateur de pesticides (environ 80 000 tonnes par an). Les pesticides sont omniprésents en agriculture, dans les jardins, dans les maisons… L’Institut national de veille sanitaire (InVs) a retrouvé des traces d’insecticides dans 90 % des échantillons d’urine qu’il a testés.

Les agriculteurs sont les premières victimes des pesticides, car ce sont eux qui manipulent quotidiennement ces produits phytosanitaires. Mais le reste de la population est aussi touchée par ce phénomène.

Une exposition régulière aux pesticides peut engendrer la maladie de Parkinson. D’ailleurs, elle a été reconnue comme maladie professionnelle, et cela depuis 2012. En effet, il a été admis qu’une utilisation régulière de pesticides pendant plus de dix ans est un facteur de risque. Une vingtaine d’agriculteurs a obtenu cette reconnaissance dès 2012. Ils étaient cinquante en 2013 et ce chiffre ne cesse de croître.

L’usage de pesticides agricoles peut aussi engendrer des lymphomes, des cancers de la prostate, des myélomes et toucher le fœtus dans son développement avec des risques de malformations congénitales, de leucémies, de troubles de la mémoire… L’affaire des bébés nés sans bras est un exemple flagrant de la nuisance de ces produits. On note aussi une augmentation d’enfants autistes. L’autisme est un trouble qui peut être causé par des facteurs environnementaux, comme l’exposition aux pesticides.

Mais le phénomène est mondial ! Voici les sites les plus pollués au monde selon un rapport de la Croix verte internationale publié en 2013, et franchement cela fait peur d’autant plus que la situation a dû empirer depuis :

  • Mexique : Le 1er septembre 2014, 48 tonnes de poissons morts sont retrouvées flottantes sur le lac de Cajitilan à cause de la pollution.
  • Argentine : 5 000 industries déversent leurs déchets sur une portion de 64 km dans le fleuve Matenza-Riachuelo entre Buenos Aires et le Rio de la Plata. Plus de 20 000 personnes, la plupart vivant dans des bidonvilles, y respirent des composés organiques volatils, dont le toluène.
  • Bangladesh : les tanneries du cuir à Hazabibagh aux installations vétustes. 160 000 personnes sont concernées par cette pollution.
  • Indonésie : au bord du fleuve Citarum, plus de 500 000 personnes sont exposées à plusieurs produits chimiques dont le plomb, le cadmium, le chrome, les pesticides.
  • Indonésie : les mines d’or des mines de la province de Kalimantan, 225 000 personnes sont exposées au mercure.
  • Ghana : la décharge géante de matériel électronique d’Agbogbloshie, dans la banlieue d’Accra. 40 000 personnes sont exposées à la pollution au plomb, au mercure et au cadmium.
  • Nigéria : la pollution du sol liée au pétrole dans le delta du Niger.
  • Zambie : les résidus de plomb de l’exploitation de mines aujourd’hui fermées dans la ville de Kabwe.
  • Russie : à Dzerjinsk, le centre de l’industrie chimique russe. Entre e1930 et 1998, 300 000 tonnes de produits chimiques ont été traitées de manière impropre. La nappe phréatique est lourdement polluée menaçant 300 000 personnes.
  • Russie : à Norilsk, l’extraction du nickel et du cuivre provoque une forte pollution de l’air.
  • Ukraine : la centrale nucléaire de Tchernobyl a fait des milliers de victimes directes. Dix millions de personnes sont toujours les victimes potentielles de l’explosion du réacteur nucléaire qui a eu lieu le 26 avril 1986.

On connaît tous ces chiffres et pourtant, on n’arrête pas de polluer pour autant. Et vous savez pourquoi ? Parce que derrière toute cette pollution se cachent des actionnaires de grandes entreprises qui poussent à la surproduction, qui veulent s’enrichir et donc qui poussent à la surconsommation. Ce n’est pas le citoyen lamda qui en prenant sa douche ou en chauffant son appartement ou en ne triant pas ses déchets qui pollue, mais les grandes industries et entreprises qui produisent trop. Trouvez vous normal de faire venir des “gadgets” de l’autre bout du monde et de faire de ces gagdets des produits “à la mode”, “in”, et de pousser à acheter ces “gadgets” qui finalement ne sont pas indispensables mais qui ont générés beaucoup d’énergie et d’eau pour la production. Prenons l’exemple des Rainbow Loom, vous savez ces bracelets faits avec de petits élastiques multicolores fabriqués en caoutchouc. Pour produire ces bracelets, qui nous viennent de Chine, il faut de l’eau, de l’énergie et surtout du caoutchouc. Donc rien que pour un effet de mode (comme quoi l’homme est vraiment un idiot), on n’hésite pas à détruire la nature. De plus, comme la demande était grande, il a fallu planter du caoutchouc en Asie du Sud-Est pour y répondre, engendrant un impact écologique certain. Tout ça pour faire plaisir à de petits Européens trop gâtés. Sans parler de nos chers smartphones, dont la fabrication de la batterie demande du cobalt, un matériau qui se trouve dans des mines du Congo et où les ouvriers sont traités comme des esclaves.

Voilà aujourd’hui où nous mène la folie de l’homme, la course à l’argent et au pouvoir. De gros industriels n’hésitent pas à nous tuer, pourvu qu’ils fassent du chiffre ! Stop à tout cela ! Mais, celui qui achète est aussi coupable que celui qui vend. Si un produit ne trouve pas d’acheteur, il est retiré du marché. Donc, le consommateur est lui aussi coupable de cette débacle, car le consommateur s’est vautré dans la surconsommation. On lui a fait croire qu’il devait décorer sa maison pour mieux se sentir, qu’il devait porter des vêtements à la mode, qu’il devait s’acheter les dernières technologies ? Et finalement, est-il heureux ? Non, car cette course à la surconsommation engendre de nombreuses angoisses et de nombreuses frustrations, et l’homme a perdu de vue l’essentiel : l’amour, l’amour de l’autre et la simplicité d’une vie libre, non enchaînée à du matériel. 

 

 

Des pathologies qui augmentent sans cesse

La cigarette, et ce n’est plus un secret pour personne, augmente le risque d’apparition de certains cancers, notamment du poumon et de la gorge.

Mais, d’autres problèmes pourraient venir de notre environnement et celui habitant en ville y est le plus sensible que celui qui habite la campagne. En effet, depuis quelques années, on sait que le diabète, les allergies, les troubles de la reproduction, les maladies de Parkinsons et d’Alzheimer… peuvent être causés par la pollution.

Nous sommes constamment en contact direct avec des polluants lorsque l’on respire, lorsque l’on boit ou lorsque l’on mange (les produits transformés ou ultratransformés comportent des substances nocifes et toxiques pour le corps, l’industrie agroalimentaire nous vend du poison, cf le livre “Vous êtes fous d’avaler ça” de Christophe Brusset)  et certaines substances vont perturber le système endocrinien ou, plus grave, endommager l’ADN. L’ADN est ce que l’homme a de plus précieux en lui, avec Dieu. C’est ce qui fait lui, son pratrimoine. Tout ce qui fait lui est codé dans son ADN, vous transformez l’ADN, l’homme devient un étranger pour lui-même. 

Et pourtant, l’industrie agroalimentaire n’hésite pas à nous vendre ces poisons, et nous, pauvres cons que nous sommes, nous l’achetons, nous le consommons. Produits transformés, ultra-transformés, chimiques, colorants artificiels, conservateurs… Continuez, chers moutons, à acheter vos aliments dans la grande distribution, continuez à donner des céréales chocolatées à vos enfants, du la pâte à tartiner qui contient plus de matière grasse que de chocolat, des biscuits, continuez à ingurgiter des plats préparés… Dormez tranquilles braves gens, les industriels veillent à ce que vous tombiez malades afin que l’industrie pharmaceutique puisse vous vendre des médicaments ! Et au passage, ces médicaments créeront d’autres maladies… Le cercle infernal. Bienvenue à toi, gent du peuple, au centre de l’enfer.

Tout est une histoire d’argent et de nombreux fabricants peu scrupuleux n’hésitent pas à utiliser des produits nocifs et dangereux pour nous. Le dernier en date : le bisphénol A. Vous savez, cette substance présente dans certains plastiques et à l’intérieur des boîtes de conserve. Chez les femmes enceintes, il existe un risque de développer un cancer du sein. Bien sûr, le bisphénol A a été interdit dans les contenants des aliments destinés aux jeunes enfants ainsi que dans la fabrication des biberons, mais était toujours présent, et cela jusqu’en 2015, dans certains emballages alimentaires. Sans parler du glyphosate, produit que l’on sait dangereux, mais que l’on continue à autoriser.

 

 

Et la suite est plus grave

Aux Philippines, le cours d’eau qui traverse un bidonville de Manille convoie des tonnes de déchets et empoisonne les riverains.

 

En dépit d’un savoir largement étayé sur les causes du dérèglement climatique, en dépit de nombreux rapports officiels, d’études argumentées, d’une prise de conscience mondiale partagée, de cris d’alarme répétés depuis des années…, la crise environnementale s’aggrave. Du moins, ça c’est la version des médias. Car en réalité, on veut nous faire peur, et on veut nous faire croire que l’on réfléchit et met en place des solutions, mais en réalité, tout est mensonges et manipulations, car rien ne change. Car si vraiment on voudrait oeuvrer pour la planète et être bienveillant pour les gens, on interdirait à la vente tous les produits nocifs et la malbouffe, on éduquerait les enfants à ce problème, on nommerait vraiment les choses. 

Nous produisons toujours plus de déchets, de rejets de CO2, d’autoroutes, d’aéroports, de grandes surfaces… La destruction de la planète semble plus que jamais souveraine, comme une dette dont nous portons tous aveuglément le poids. En nous en moquant, finalement, trop préoccupés que nous sommes par l’horizon à court terme de notre confort quotidien (bien se chauffer, se déplacer vite, consommer beaucoup…), nous fermons les yeux sur ce grave problème. Trop préoccupés que nous sommes par notre petite personne, nous fermons les yeux sur ce désastre humanitaire. Pourvu que nous ayons le dernier smartphone à la mode ce n’est pas grave si, à l’autre bout de la planète, des millions d’êtres humains meurent à petit feu. Pourvu que nous ayons notre petit café tous les matins préparés grâce à une capsule déjà dosée (capsule qui pollue énormément), nous fermons les yeux sur tous ces enfants nés malades, difformes ou qui souffrent de problèmes respiratoires. Jusqu’où va aller cette folie humaine ? Il est temps de se réveiller. De dire non à tout cela ! De changer nos habitudes de consommation, de rejeter toutes ces idées sataniques qui mettent d’abord l’avoir avant l’être, qui font passer l’argent et la richesse, avant l’être humain ! Vous savez, la planète saura se réguler au moment voulu, et quand une espèce n’est plus conforme à ses lois, elle s’éteint, tout simplement. 

Le développement de l’agro-industrie propose de plus en plus de produits de longue conservation, prêts à l’emploi ou encore allégés et bourrés d’additifs. On sait que les additifs ne sont pas bons pour notre santé et pourtant, on continue à en produire et à en vendre. Et nous à en acheter et à se tuer à petit feu. Par exemple, l’additif BHA, noté E320 sur les étiquettes, est présent dans les purées en sachet ou encore dans les chewing-gums. Cet additif est classé comme potentiellement cancérigène et provoque de l’hyperactivité chez les enfants. Et on continue à en donner à nos enfants ! Voilà les bonnes mères de famille qui, pressées, font une petite purée à leurs enfants pour le dîner ! Et qui les empoisonnent au passage ! Arrêtez cette folie ! Arrêtez d’acheter des purées en sachet ! Je sais que l’on fait beaucoup culpabiliser les femmes, qui doivent à la fois être de bonnes mères, de bonnes épouses et de bonnes employées. La femme doit être parfaite sur tous les fronts, et la charge mentale qui pèse sur elles est énorme. Je comprends la mère de famille qui rentre du travail à 19h, qui récupère les enfants chez la nourrice, qui, épuisée, fait une purée pour le dîner pour gagner du temps. Finalement, c’est la société qui nous pousse dans une voie de garage, qui a engendré de nombreux problèmes. 

Parlons aussi de l’aspartame, cet édulcorant mis dans tous les produits light serait néfaste pour les femmes enceintes augmentant les risques d’un accouchement prématuré.

Sur tous nos fruits et légumes achetés au supermarché, on trouve des pesticides qui sont très dangereux pour la santé. Ils jouent un rôle non négligeable dans la survenue d’une maladie neurologique, comme la maladie d’Alzheimer, augmentent le risque d’infertilité, augmentent le risque de malformations congénitales, augmentent les risques de tumeurs cérébrales… Et les plus touchés sont ceux qui vivent, non pas en ville, mais à proximité d’une zone agricole. Et les Français sont plus touchés que les Canadiens ou les Américains. Certains pesticides ont été interdits, comme l’atrazine en 2003, mais sont encore présents dans la nature.

Tiens en parlant de fruits et légumes, nous pouvons aussi remercier Mosanto-Bayer pour avoir éteint la diversité de nos fruits et légumes et rendus stériles les graines. Je vous invite à visiter ce site, “Combat Mosanto“, pour vous rendre compte de l’ampleur des dégâts. La libération passe par l’acceptation de la vérité, et si l’on accepte la vérité et le fait de comprendre que le consommateur a le pouvoir, alors on peut renverser la vapeur et exiger le retour à une agriculture locale. 

Ajoutons à cela la pollution plastique dans les océans, les rivières, les mers. Les animaux marins agonisent, et pourtant, on continue à vendre des pailles, on continue à vendre des bouteilles en plastiques, des verres en plastiques, des emballages… On ne sait pas comment traiter tout ce plastique ! « C’est juste un petit bout de plastique », disaient huit millions de personnes ! Et l’on se retrouve avec huit millions de bouts de plastique si chacune de ces personnes a jeté dans la nature un seul déchet ! 

 

 

Et la qualité de l’air intérieur ?

À l’intérieur des maisons, des bâtiments, des bureaux, des écoles, l’air est plus pollué qu’à l’extérieur. On y trouve du monoxyde de carbone et des composés organiques volatils cancérogènes émanant des moquettes, des meubles en aggloméré, des produits d’entretien, de nombreux allergènes liés aux acariens, aux chats, aux chiens… Si l’on ajoute la fumée de tabac, on peut comptabiliser plus de 3000 substances dangereuses à l’intérieur de son habitat.

Prenant un exemple avec le formaldéhyde, un composé organique volatil très courant qui irrite les yeux, le nez, la gorge. Malgré son classement en tant que substance cancérigène certaine pour l’homme, une enquête faite en 2005 en a retrouvé dans 100 % des logements ! Dans les écoles, le formaldéhyde provoque de l’asthme, des rhinoconjonctivites… Heureusement qu’à partir de 2015, les collectivités accueillant des enfants de moins de 6 ans sont contraintes surveiller l’air intérieur de leurs bâtiments ! Et chez nous, qui surveillent l’air de notre maison ? Pour éviter cette pollution invisible, il faut éviter d’utiliser quasiment tous les produits d’entretien (revenir à des produits d’entretien plus sains, respectueux de l’environnement, comme le savon noir, le vinaigre blanc, le bicarbonate de sodium…) et éviter d’acheter des meubles en aggloméré.

 

 

Et les particules fines ?

 Les particules fines sont de minuscules poussières qui pénètrent dans l’organisme atteignant les poumons et passant dans le sang, provoquant des crises d’asthme, des rhinites, des troubles cardio-vasculaires… et pouvant entraîner certains cancers.

Lors des pics de pollution, ces particules fines, présentes en grande quantité dans l’air, peuvent provoquer des infarctus. Et les responsables sont les usines, les épandages, les appareils de chauffage…

Pour ce problème, le gouvernement réfléchit à plusieurs solutions, comme taxer les véhicules diesel, ou mettre en place une norme Euro6 pour tous les véhicules ou encore interdire les véhicules dans les grandes villes… Mais, il faut le dire, nos vieux diesels se retrouvent souvent en Afrique, où bizarrement, ils continuent de rouler. Bizarrement, dès que ces véhicules arrivent sur le continent africain, un sorcier vaudou récite quelques incantations et les véhicules ne polluent plus ! Comme par magie ! On se fout de notre gueule !

Tout est toujours une histoire d’argent. Les plus modestes ne peuvent s’offrir une voiture neuve aux normes adéquates et les plus riches continuent inlassablement de polluer.

L’État met en place différentes taxes pour financer l’écologie. Là encore, je ne vois pas comment l’argent peut solutionner ces problèmes de pollution, alors que justement, l’argent est le centre de ce problème, l’argent est responsable de ce problème. Consommer plus, toujours plus, c’est ce que l’on nous pousse à faire afin d’enrichir de gros industriels peu scrupuleux qui veulent vendre toujours plus même si pour cela, ils faut nous tuer ! Ce qu’il faut, c’est un changement radical de nos comportements et de nos mentalités, afin de rejeter ce système ! Et non des taxes qui ne serviront qu’à financer le train de vie de ces élites mis au pouvoir par les petites gens. 

J’en appelle à votre bon sens, car chaque geste compte. Consommez local, consommez mieux, ne surconsommez plus. Si la demande n’y est plus, les industriels arrêteront de produire. Retournons vers l’essentiel, c’est-à-dire vers la nature et le naturel. Respectons la nature, sachons l’écouter. Elle nous donne ce dont nous avons besoin. Pour les produits d’entretiens de la maison, utilisez du vinaigre blanc, du savon noir, du bicarbonate de soude, du citron… les vieilles recettes de nos grands-mères. Et cuisinez !

J’aimerais terminer cet article en vous donnant ma vision chrétienne de cette hérésie mondiale qu’est la pollution. Elle est un péché contre la création. L’homme dégrade l’intégrité de la terre, provoquant des désastres écologiques, dépouillant les forêts naturelles, détruisant les zones humides, déréglant l’écosystème, éradiquant des espèces animales… tout cela pour de l’argent, pour s’enrichir. Les hommes portent préjudice à leurs semblables par des maladies en contaminant les eaux, le sol, l’air et l’environnement. C’est un péché, un péché contre la création, car la nature est bonne et en la détruisant, nous détruisons l’œuvre de Dieu.

Ce péché contre la création est une forme moderne de péché. Normalement, les péchés, notamment les péchés capitaux, ont traditionnellement une dimension individuelle. Mais ce péché a une résonance sociale mondiale. Il mène au Nouvel Ordre Mondial que veulent tant nous imposer les Illuminati et notamment leurs sbires les francs-maçons et autres kabbalistes. Ce péché contre la terre qui nous nourrit, qui nous soigne, mènera à la destruction de l’humanité. Il est encore temps de se réveiller et de combattre spirituellement ce Nouvel Ordre Mondial.

La bonne nouvelle, c’est que des actions se multiplient dans ce sens. On a pris conscience de la pollution engendrée par les produits plastiques, les emballages. Des hommes et des femmes courageux innovent chaque année pour éviter cette pollution. Partout, on commence à se réveiller et à rejeter cette société que l’on veut nous imposer. Le chemin à parcourir pour enfin vivre en paix est encore long, mais ensemble, nous pouvons y arriver.

 

Sources : lesinrocks.com, le monde.fr, le point.fr 

 

Marie d’Ange

 

Pour aller plus loin

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2 commentaires sur “Cette pollution qui nous rend malades

  1. super article!!
    ça c’est bien!! continuez sur cette voie là,on fait la paix?

    1. Bonjour,
      Ce blog est en train de changer de position, car j’ai évolué au fil du temps et de mes recherches. Aujourd’hui, il sera basé toujours sur la démonologie, bien sûr, mais aussi sur ce Nouvel Ordre Mondial que l’on tente de nous imposer. Ce blog aura pour vocation d’éveiller les consciences et donc d’entrer dans le combat spirituel.
      A la question si l’on fait la paix, je répondrai par deux autres questions : étions-nous amis ? Etions-nous fâchés ?
      Vous m’avez envoyé plusieurs liens, mais vous semblez ne pas comprendre que l’analyse de tous ces sites demande du temps. En ce moment, je suis dans l’écriture d’un essai à paraître prochainement et je m’occuperai de cette analyse dès ce travail terminé. Et à côté de ce travail d’écriture, j’ai aussi d’autres projets ainsi que d’autres enquêtes en cours. Pour moi, les Warren ne sont pas une priorité.
      Cordialement,
      Marie d’Ange

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